Sumérien – Ki-en-Gir
Dieux du Ciel et de la Terre
Les informations sur cette partie en particulier de l’histoire des dieux qui ont visité l’humanité proviennent en grande majorité des fouilles de Lagash et de Nippour, le centre religieux de Sumer et d’Akkad où les archéologues ont trouvé 30 000 textes.
Ces tablettes font la lumière sur le fait qu’après des centaines de milliers d’années d’un lent et pénible développement humain, le cours des choses changea soudainement et radicalement, par trois fois, environ 11 000 ans, 7 400 ans et 3 800 ans av. J.-C., périodes où des nomades primitifs se transformèrent en bâtisseurs de villes, en ingénieurs, en mathématiciens, en astronomes, en marchands, en métallurgistes, en musiciens, en juges, en docteurs, en auteurs, en libraires, en prêtres.
On retrouve dans des milliers d’inscriptions de la civilisation sumérienne, une phrase expliquant ce saut quantique : « Tout ce qui semble beau, nous l’avons fait par la grâce des dieux. »
Qui étaient les dieux de Sumer ?
Les fils des dieux qui vinrent des Cieux sur Terre étaient appelés les “Néfilim”. Suite aux divergences d’opinion sur la traduction de ce nom : “les géants”, “ceux qui furent jetés en bas”, “ceux qui étaient descendus du ciel”, la plupart des écrits maintenant conservent le terme “Néfilim” pour en parler. On les appelait aussi “le peuple des Shem – le peuple des fusées” et les Anounnaki. Beaucoup de textes continuent à se référer aux Anounnaki comme les « cinquante grands princes ». Une orthographe courante de leur nom akkadien, An-nun-na-ki se rend aisément par « les cinquante qui allèrent (des cieux) à la Terre ».
Sur l’image ci-haut (fig. 89 – La 12e planète), vous pouvez voir la représentation agrandie du dieu central provenant d’une tablette originale, qui représente une large étoile rayonnante entourée de onze corps célestes, des planètes, qui reposent sur une chaîne composée de vingt-quatre globes plus petits, le nombre exacte des lunes ou satellites des planètes de notre système solaire selon les scientifiques.
À partir de l’estimation de la date du déluge, le premier atterrissage des Néfilim eut lieu il y a 450 000 années.
Apollodorus d’Athènes fit note des découvertes préhistoriques de Bérossus en des termes semblables : dix souverains régnèrent pendant un total de 120 shar’s (432 000 années terrestres), et le règne de chacun d’eux était mesuré en unité de 3 600 années-shars.
Alouli 8 x 3 600 = 28 800
Alalgar 10 x 3 600 = 36 000
Enmenlouanna 12 x 3 600 = 43 200
Enmengalanna 8 x 3 600 = 28 800
Doumouzi 10 x 3 600 = 36 000
Ensipazianna 8 x 3 600 = 28 800
Enmendouranna 6 x 3 600 = 21 600
Oubartoutou 5 x 3 600 = 18 000
Et deux rois régnèrent à Éridou pendant 64 800 ans
On retrouve les dieux de Sumer dans l’histoire de Zeus et des 12 dieux grecs; les Grecs n’ont jamais prétendu que les dieux olympiens étaient venus en Grèce directement des cieux. Zeus arriva par la Crête en traversant la Méditerranée. Aphrodite était venue par la mer du Proche-Orient, via Chypre. Poséidon amena avec lui le cheval d’Asie Mineure. Athéna apporta à la Grèce « l’olive, fertile, qui s’ensemence elle-même » des terres de la Bible.
Les 12 divinités hittites avaient des noms sumériens, venaient du ciel et leur sceau était une fusée. Les Hourrites transmettaient la religion de Sumer, utilisaient les noms sumériens originaux et leurs épopées étaient des contes de Sumer. Râ, le dieu égyptien était un dieu céleste représenté par un globe ailé, on disait qu’il était venu en Égypte d’ailleurs. Il en fut de même chez les Aryens, les Cananéens, les Amorites…
(Référence : La 12e planète de Zecharia Sitchin)
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