PRESENCE EXTRATERRESTRE DU MICROSCOPIQUE AU MACROCOSMIQUE
INTERVIEW REALISEE AUPRES DE I.J.P. APPEL GUERY
Question : Comment aborder actuellement l’étude du phénomène extraterrestre ?
L’ufologie traitant de l’étude statistique des observations OVNI, l’exobiologie traitant de la vie possible dans l’univers et la psychophysiologie étudiant les rapports de la pensée et de la physiologie terriennes avec d’autres types de créatures et de civilisations extraterrestres, il existe enfin le domaine des recherches concernant la communication et les échanges possibles par le langage ou divers signaux avec d’autres types de créatures.
Question : Est-il possible d’envisager une communication avec des consciences extraterrestres ?
Des essais de communications intelligentes ont été faits avec des espèces différentes telles que les singes, les dauphins, les chiens, les oiseaux. Mais la communication avec d’autres créatures de l’univers peut s’avérer encore plus difficile à comprendre dans la mesure où l’origine, la structure et le rapport à l’environnement vibratoire ne sont pas analysés de la même manière en fonction de sensibilités ou de niveaux de conscience différents.
D’autre part, on doit aussi assimiler l’idée que la conscience dépend de l’échelle d’appréciation où l’on se place. Dans ce sens, qui peut le plus peut le moins, et donc si la conscience d’une bactérie peut difficilement concevoir la nature totale d’un homme ou du cosmos, par contre, l’homme peut très bien observer et comprendre le fonctionnement et la structure globale d’une bactérie.
Question : A quel niveau peut-on situer l’être humain ?
Rien ne nous empêche de concevoir que la pensée humaine se déploie dans un continuum se trouvant situé entre un niveau de conscience qui existe dans l’infiniment petit et un type de conscience se déployant dans l’infiniment grand. On pourrait alors définir trois grands types de conscience :
- des consciences de type particulaire pouvant développer des civilisations minuscules à durée de vie extrêmement brève, dans un continuum microcosmique tendant vers l’infiniment petit;
- des consciences de type humanoïde déployant des civilisations compréhensibles à nos consciences, d’une durée de vie moyenne dans un continuum accessible à nos cinq sens tendant vers l’infinie complexité caractérisant la vie;
- des consciences de type stellaire reliées à des civilisations gigantesques à durée de vie immensément longue dans un continuum macrocosmique tendant vers l’infiniment grand et donc difficilement compréhensible dans sa totalité pour nos consciences plus limitées.
Question : Mais alors, quelles peuvent être la définition et les caractéristiques de ce que l’on appelle un être vivant ?
Si la conscience peut se manifester grâce aux supports macromoléculaires élaborés par la vie dominée sur Terre essentiellement par la chimie du carbone et par les forces électromagnétiques qui assurent les liens entre les différents atomes, on peut extrapoler, comme l’a fait Freeman Dyson de l’Université de Princeton, pour qui l’intelligence dépend de la complexité d’une structure quelle que soit la substance qui la constitue.
La conscience et la vie demanderaient donc des structures complexes relativement stables, très riches en informations, susceptibles de reproduction et d’interaction organisée avec l’environnement dans une optique précise, pour se développer et occuper tout l’espace disponible.
Question : Peut-on envisager d’autres types de créatures dans l’Univers ?
Fort de cette définition élargie de la conscience et de la vie, on peut envisager des êtres vivants créés par l’interaction nucléaire : c’est l’opinion de l’astronome F. Drake qui a imaginé une vie possible non chimique sur des étoiles à neutrons faisant en moyenne 15 km de diamètre et dont la masse de 1 à 3 fois celle du soleil les rend hyperdenses (un dé à coudre : 1 milliard de tonnes), leur température étant de 1 million de degrés K et leur vitesse de rotation très rapide.
La force d’attract intranucléaire, beaucoup plus forte que la force électromagnétique, peut créer une sorte de liquide hyperdense de neutrons dont la croûte est faite de noyaux de fer très stables.
Quand une étoile à neutrons se refroidit, il se crée des chaînes de montagnes de plusieurs millimètres de haut, des fissures se font sur plusieurs dizaines de mètres, des liquides neutroniques s’exsudent et des nuages de vapeur de fer surgissent jusqu’à la stratosphère qui est à 15 cm au-dessus de la surface de l’étoile à neutrons.
Question : Mais qui pourrait exister dans un tel milieu ?
Les forces nucléaires agissant sur les particules en présence finissant par créer des structures suffisamment complexes pour donner naissance, avec le temps, à des êtres intelligents qui pourraient mesurer la taille d’un proton (10-13 cm), se déplaçant à la vitesse de 1000 km/seconde, parcourant donc 1,70m – la taille d’un homme – en 10-21 secondes, ce qui équivaut à une seconde de notre temps.
Un tel type de noyau vivant, constitué de 1025 particules, d’une durée de vie d’un millionième de milliardième de seconde (10-20) aurait l’impression de vivre 100 ans, car il aurait au cours de sa “vie”, des milliers d’interactions avec d’autres noyaux vivants de sa race.
Si, sur Terre, il a fallu 2 milliards d’années pour passer des amas protoplasmiques primitifs à la cellule vivante organisée, par analogie le temps étant 1021 fois plus petit, il ne faudrait pas plus d’un trentième de seconde pour l’apparition de la vie nucléaire à la surface d’une étoile à neutrons; l’évolution extrêmement rapide conduirait à des êtres vivants 10-15 secondes, d’une taille d’un millième de milliardième de cm, percevant les rayons ultraviolets, X ou Gamma, qu’ils utiliseraient pour envoyer leurs messages intersidéraux.
Leur civilisation technologique semblable à la nôtre évoluerait très vite et pourrait s’autodétruire en un milliardième de seconde. Donc en une seule vie plusieurs millions de civilisations nucléaires pourraient se succéder sur une étoile à neutrons.
Question : Quels sont alors les types d’émission venant éventuellement de ces niveaux d’énergie que nous pouvons capter actuellement sur Terre ?
Emissions microcosmiques :
– Sursauts Gamma : en 1963, les satellites US Véla détectent des bouffées de rayon X et Gamma de quelques secondes équivalentes à mille millions de milliards de mégatonnes d’explosif venant d’objets célestes mystérieux.
– Fond X : en 1962, Giaconnie et Rossi ont détecté des RX emplissant tout l’espace, liés éventuellement au Big-Bang primordial.
– Rayons cosmiques : le 7 août 1912, Victor Hess découvre des particules électriques en haute atmosphère; origine : soleil et autres.
– Fond Gamma : rayon Gamma venant du centre de la voie lactée et de tout l’univers.
– Pulsars : en octobre 1967, Jocelin Bell découvre une émission radio venant d’étoiles à neutrons tournant sur elles-mêmes rapidement.
– Massers cosmiques : en 1954, Charles Townes découvre des nuages interstellaires qui amplifient très précisément certaines fréquences d’ondes courtes.
– Etoiles X : étoiles rares (200 connues), souvent en couples, émettant à intervalles réguliers des RX, surtout au cours du transfert de matière entre les deux partenaires.
– Galaxies et amas à rayons X : en avril 1965, la fusée Arobee découvre 2 sources de RX extragalactiques, Messier 87 et Cygnus A, extrêmement puissantes.
Question : Mais qu’est-ce qui peut nous prouver qu’il y a un quelconque type de conscience derrière ces divers rayonnements cosmiques ?
Evidemment, si l’avance technologique terrienne permet de capter de telles émissions de RX et de rayons Gamma, l’analyse fine ne permet pas encore de vérifier s’il y a une modulation de ces ondes porteuses qui signifierait l’existence de dimensions de conscience microcosmiques.
En tout cas, ce que nous pouvons conclure c’est que la communication avec une dimension de conscience issue de ce type de civilisation hyper avancée par rapport à nous pourrait ressembler à un éclair de génie, permettant de faire progresser l’être humain et l’humanité d’un état de vie très condensé à un état plus énergétique, donc plus fluide et plus libre.
Néanmoins, la communication avec de tels niveaux de conscience demanderait des opérations proches de la nôtre doivent pouvoir se faire, dans la mesure où les évolutions technologiques et spirituelles se trouvent dans des rapports accordables.
C’est pourquoi une recherche des émissions extraterrestres est faite actuellement au niveau scientifique.
Question : Où en sont les recherches à l’heure actuelle ?
Depuis 1981 le télescope de Nancay en France est à l’écoute d’émissions extraterrestres, de même que le radiotélescope de Greenbauk aux USA.
Le programme CETI (Communication with Extraterrestrial Intelligences), lancé par les Soviétiques, a réalisé la surveillance radio de plus de 600 étoiles pendant quelques minutes.
Paul Horowitz, à Havard, a construit la balise de SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence) qui possède 65.436 canaux de 2000 Hz chacun, couvrant une centaine de MgHz sur l’échelle des fréquences pour l’écoute d’émission ET.
Mais ces émissions radio ET sont perturbées par les parasites radio venant des particules électrisées en mouvement dans les galaxies et par les molécules d’eau atmosphériques, c’est pourquoi la zone d’écoute se situe le plus favorablement entre 1000 et 100 000 MHz.
Question : Quels sont les résultats obtenus ?
A partir des observations, un certain nombre de résultats ont pu être enregistrés, qui manifestent une très grande activité radioélectrique et magnétique dans l’univers.
A titre d’exemple, voici quelques découvertes actuelles :
- Rayonnement radio-isotrope : en 1965, A. Penzias et W. Wilson captent au New-Jersey un rayonnement radio sur 7,5 cm emplissant tout l’univers et résultant à leur avis d’un reste radio du Big-Bang.
- Radio-sources non identifiées : ces nombreuses radio-sources non détectées dans le visible se trouvent en dehors de la voie lactée.
- Radio-galaxies : en 1946, découverte de Cygnus, première radio-source, par S. Hey. Les grandes (100 000 années-lumière) ont des émissions régulières. Les petites (quelques semaines d’années-lumière) ont des variations d’intensité d’émission.
- Quasars : noyaux de galaxies très actifs dont le rayonnement radio et stellaire est inhabituel et déclaré vers le rouge.
- Etoiles magnétiques : en 1946, H. Babcock de l’observatoire du Mt Wilson découvrit le puissant champ magnétique de l’étoile lointaine 78 Virginis. Les champs magnétiques stellaires plus ou moins variables ont une période de 25 jours.
- Champs magnétiques inter-stellaires : en 1949, Enrico Fermi découvre ces champs magnétiques qui pourraient accélérer les particules des rayons cosmiques.
Cependant l’écoute radio, telle que nous la pratiquons sur Terre avec nos habitudes de conscience et de communication, n’est pas forcément accordée aux types de communications extraterrestres qui peuvent résulter d’une synthèse entre la radio et la télépathie, le raisonnement et la résonance. En conséquence on captera peut-être, avec les instruments, la trace de l’onde porteuse mais pas forcément la modulation correspondante qui sera d’ordre télépathique.
Question : Qu’est-ce qui vous conduit à penser cela ?
Certaines observations réalisées au cours de contacts entre terriens et extraterrestres nous conduisent à abonder dans cette optique, vu que les sonorités émises ressemblent parfois plus à des sortes de sifflement qu’à des mots, comme lors du contact qui eut lieu à Valensole dans le Var (France) où le témoin contacté entendit cette sorte de communication mi-sonore, mi-télépathique entre deux ET de petite taille à côté de leur vaisseau.
Evidemment, chaque race galactique peut avoir son type particulier de communication en fonction de sa morphologie, de son évolution biologique et technologique.
Question : Que doit-on penser des contacts avec les extraterrestres ?
Divers documents et contacts permettent d’établir l’existence d’autres races qui seraient en contact avec la Terre et dont on pourrait faire une classification succincte selon la taille, les caractères et le degré de civilisation atteint :
LES PETITS – de 0,30 m à 1,20 m
– Les êtres de Réticuli : 1,20 m, visage et corps fins.
– Les êtres d’Andromède : 0,30 m, véhicules de forme-énergie, très intelligents.
LES ETRES MOYENS – 1,60 m à 2,50 m
– De la planète Iarga : 2 m, issus d’une civilisation avancée.
– Les Lyriens, corps élancé, civilisation 5000 ans d’avance sur les Terriens.
– Les Végans, de Véga, à la peau mate, visage triangulaire, 3200 ans en avance sur nous.
– Les Dals, morphologie caucasienne, 3600 ans en avance.
– Les Pléiadiens, peau très fine, très proches des Terriens, 3000 ans d’avance.
– Les Bauis, déjà présents sur Terre au temps de l’Hyperborée.
– Ceux d’Alpha du Centaure, grands, blonds, disposant d’un dynamisme psychomoteur.
– Ceux de Procyon, peau jaune ou vert clair, vie très collective.
– Ceux d’Orion, race assez corpulente, instructeurs.
LES NAINS, LES ROBOTS, LES CYCLOPES, LES GEANTS, LES DIVERS
– Ceux d’Epsilon Eridoni, peau d’écaille rugueuse, 2 m, technologie avancée, étoile à 20 années-lumière de la Terre.
– Androïdes, mi humains, mi robots vus par Enrique Castello dans un vaisseau.
– Les Géants Hyperboréens, 7 à 8 m de haut, traces de leurs pieds en Polynésie.
– Ceux du Cygne, peau foncée, amphibiens.
Question : Mais y a-t-il eu des contacts antérieurement à notre époque ?
On peut également se demander si des communications ont eu lieu au cours de l’histoire et la protohistoire entre Terriens et représentants d’autres civilisations extraterrestres. De nombreux écrits, tableaux ou sculptures relatant de tels contacts, des ouvrages entiers ont été consacrés à ces preuves (ouvrages spécialisés). Par contre ce qui est moins connu, c’est ce qui fut enseigné par ces visiteurs venus d’ailleurs.
A partir de certains contacts réalisés à notre époque, des archives extraterrestres ont permis de préciser le rôle de certains messagers venus d’ailleurs.
– Hornuck, venu d’une planète située à 1 milliard d’années de la Terre enseigna la biologie, le matriarcat et la sculpture dans l’empire de Mu.
– Baal-Ha-Néphilim, montra à la race blanche (Celtes, Armoricains, Barconiens, druides, etc…) comment diriger les menhirs selon le point vernal et comment régulariser les cultures après le cataclysme qui avait détruit Mu.
– L’Hug, instructeur venu de la planète Ortog près de la constellation du Cygne (P’Gug en Lamnorien), enseigna la disposition et le fonctionnement des courants telluriques selon les veines du Dragon de la Terre. Il fit ériger les menhirs stabilisateurs de ces courants particulièrement sur la France qui compte le plus grand nombre de dolmens et menhirs du monde (3000 à 4000) disposés en une spirale centralisée sur le village de Loye d’où le jeu de l’oie en spirale initiatique et très ancien. Les villes comme Lugdunum (Lyon), Lutèce, Lourdes, Loudin, Lons-le-Saunier, Luc-en-Diois, Lausanne, Lussac, Lyons-la-Forêt, Lugasson, Luçay-le-Mâle, Lugan, Luxeuil, font partie de cette spirale tellurique de l ‘Hug.
– Baale Ha Sud, transmit l’histoire protohistorique dont les traces se retrouvent dans la kabbale quand on en possède les clefs.
– Empilim, hyperboréen, instructeur du système de Polaris.
– Quetzalcoalt, enseigna les Aztèques, les Toltèques, les Incas et l’Amérique du Nord il y a 150 000 ans.
– Barts, cyclope géant, technicien, de 3 à 5 m de haut, qui apporta les premiers rudiments de fonderie, de forge, de métallurgie, dont la fabrication de l’Aurichalque. Il venait de la troisième planète tournant autour d’Arcturus.
– Bearetz, cyclope géant qui indiqua la manière de capter l’énergie tellurique et l’énergie solaire.
– Auza et Ghzal, venus de la planète Ortog, instruisirent les peuplades africaines : les peuples actuels en parlent encore comme de dieux volants aux ailes grises, enseignant le bien.
– Brahm’, il “apparaît” au Moyen-Orient entre Ur et Babylone. Venu “d’ailleurs” en vaisseau, il se rendit en Inde, se maria et eut plusieurs enfants qui le défièrent plus tard. Brahm’ venait d’un commando qui se trouvait sur la Lune et ses élèves avaient pris le nom d’Azraël, d’où est issu Israël, signifiant “fils de la Lune”.
– Noah – Noé, fils de Bat Enoch et d’un fils des cieux.
– Osiris, fils de Geb et de Neut, dont un dieu fils de la Terre et du Ciel.
– Orejona, vierge aux longues oreilles, arrivée à l’ère tertiaire. Elle créa une race nouvelle dans la région du Lac Titicaca où elle se développa puis émigra ensuite vers l’Ile de Pâques.
Question : Tous ces messagers sont inconnus historiquement, mais y en a-t-il eu de plus connus qui puissent être considérés comme étant reliés à une dimension extraterrestre ?
– Mahelsa, venu d’Hyperborée, connu sous le nom de Moïse, fils d’un hyperboréen, Gh’Hurt, et de la fille du Pharaon. Mahelsa repartit en Vimana, sa mission terminée.
– Elie, venu d’une planète située à 1 milliard d’années-lumière, centrée sur une étoile de huitième grandeur.
– Enoch, prophète venu “d’ailleurs” pour instruire.
– Ezechiel, prophète venu “d’ailleurs” pour instruire.
– Ram, venu de Thulé pour instruire les Celtes, Gaëls, Armoricains, Biscayens, Vighuts.
– Cakya-Mouni le Bouddah, le sage. Né au bord du Gange par insémination artificielle, originaire d’une planète située à un milliard d’années-lumière. C’est le premier qui parla de l’égalité de toutes les races.
– Hoodlum, il y a une centaine d’années, cet instructeur éduqua un petit groupe d’initiés vers le grand nord, dont Jules Vernes faisait partie.
Question : Ces révélations sont pour le moins troublantes. Mais en général quel moyen de communication ou de langage a pu être utilisé par ces messagers pour se faire comprendre ?
Ces divers instructeurs communiquèrent leurs informations avec des langages et des moyens divers. Parmi les moyens de communication extraterrestres existe évidemment la télépathie qui, des prophètes anciens jusqu’aux télépathes modernes, en passant par Jeanne d’Arc, fait entendre aux contactés une sorte de voix intérieure révélant ou guidant selon les messages reçus. Lors de contacts physiques, le mode de transmission entre extraterrestres a été perçu parfois comme un sifflement (cf précédemment, à Valensole). D’ailleurs, il existe des bergers aux Canaries qui à travers les montagnes se communiquent des messages relativement élaborés grâce à des sifflements. Dans d’autres cas de contact, il a été fait mention de l’utilisation d’un traducteur de langue qui semblait agir sur les facultés cérébrales, permettant aux interlocuteurs de parler des langues qui leur étaient inconnues auparavant.
Question : Que savez-vous des langages extraterrestres ?
Evidemment le nombre de langages dans l’Univers doit être incommensurable quand on pense que déjà sur la Terre on estime à 2500 ou 3000 le nombre de langues et dialectes parlés.
Néanmoins, ce que l’on peut constater, c’est que les langages dans l’Univers varient selon les niveaux vibratoires d’existence des créatures. Il y a les langues des mondes de puissance correspondant à des sortes de mots-forces mettant en route certaines vibrations proches des plans condensés de matière. On retrouve ce pouvoir du son dans le “kai” des arts martiaux japonais et dans cet acte créateur dont la bible parle, lorsqu’Adam nomme les animaux pour les créer. D’autres langues sont en corrélation par un monde de symboles très élaborés qui se relie à la Trame Cosmique ; des correspondances existent entre, par exemple, des langues galactiques comme le Lamnhorien qui désigne la planète explosée des astéroïdes sous le nom de TahenNoura alors que le Solexmal, autre langage galactique la désigne sous le nom de Malone ; par contre d’autres l’ont désignée sous le nom de Tyr ou Luciféra, mais chaque fois cela traduit essentiellement comme désignant une Terre-Lumière pour des raisons protohistoriques précises. Enfin, il existe un autre moyen de communication universelle qui est le pentacle géométrique et les codages numérologiques interdimensionnels.
Question : Est-ce qu’il est possible de restituer tout cela dans le cadre rationnel de la science terrienne actuelle ?
Il est évident qu’à ce stade les explications deviennent extrêmement complexes car le cerveau humain peut enregistrer normalement 2 pulsations par seconde dans la succession des pensées alors que des créatures galactiques peuvent enregistrer plusieurs millions de pulsations par seconde.
D’ailleurs, les prochains cerveaux électroniques du programme starwar des Etats-Unis devront être capables de réaliser 10 millions d’opérations par seconde. Cependant la numérologie extraterrestre n’est pas la même que sur Terre, car chaque chiffre est une sorte d’être vivant correspondant à une infinité de corrélations conscientes et énergétiques qui se réduisent évidemment assez difficilement au niveau du raisonnement intellectuel habituel de la science terrienne actuelle.
Question : En fonction de tout cela, il semblerait difficile d’accéder à une communication précise avec les extraterrestres…
Cependant le cerveau avec ses 14 milliards de neurones a des capacités de synthèse considérables qui se déroulent continuellement au-delà de la conscience de veille ; c’est pourquoi il peut exister la possibilité de transcription de (tous) ces codages numérologiques galactiques au-delà de la conscience de veille du néencéphale et il peut y avoir perception de correspondances en accord avec la trame universelle de conscience-énergie, d’où la possibilité de messages prémonitoires par accès de la conscience à un monde principiel où les corrélations intemporelles sont antérieures aux codages des rayons temps numérologiques et des architectures spatiales réalisant des figures ou des situations particulières dans le plan formel. Par le nombre, on passe donc progressivement de la physique à la métaphysique qui veut dire: au-delà du physique.
Question : Mais à quoi cela peut-il conduire ?
Cela nous conduit donc tout naturellement à nous poser la question de savoir s’il n’y aurait pas à envisager l’existence d’une autre dimension extraterrestre qui serait tout simplement celle qui entoure la Terre avec les autres planètes, les étoiles, les galaxies. Dans cette optique et pour compléter la description des êtres vivants créés par interactions nucléaires sur l’étoile à neutrons et ceux créés par interaction gravitationnelle comme l’ont imaginé Donald Goldsmith de Berkeley et F. Owen de l’université de New York.
Question : Comment peut-on envisager cela ?
Les galaxies regroupent déjà plusieurs milliards d’étoiles dont les plus organisées sont les galaxies spirales, mais l’organisation reste quand même moins complexe que celle d’une cellule vivante, car trop peu de temps s’est écoulé depuis le début de l’Univers pour qu’une vie gravitationnelle puisse être réalisée : 15 milliards d’années jusqu’à nos jours représentent trop peu de temps à l’échelle des galaxies pour l’élaboration d’un organisme galactique, l’unité de temps galactique n’étant pas la seconde mais le million d’années.
Question : Où en est la vie gravitationnelle alors ?
La vie gravitationnelle n’en est qu’à un stade équivalent à l’état de la Terre quelques instants après sa formation. La sélection naturelle et le passage de l’inertie au vivant n’est pas encore réalisé, mais rien n’empêche de croire que d’ici quelques milliards d’années, structures d’étoiles suffisamment complexes donnent naissance à une vie de géants aux corps faits d’étoiles et de galaxies. Bien entendu, rien ne prouve que la trame énergétique de ces organismes n’existe pas déjà et que l’Univers fonctionne comme un grand être vivant dont la microbienne nature humaine ne peut analyser le fonctionnement que très partiellement. Néanmoins, malgré notre technologie et notre évolution terrienne limitée, il y a déjà un certain nombre d’émissions macrocosmiques qui parviennent jusqu’à la Terre et on a pu déjà enregistrer toutes sortes d’originalités dans le fonctionnement du grand organisme stellaire.
Question : Quelles sont ces émissions ?
Emissions macrocosmiques :
– Etoiles variables pulsantes céphéïdes : le 19 octobre 1794, John Goodrick d’York définit 3 sortes d’étoiles : régulières, très régulières, peu régulières.
– Novae et supernovae : découvertes le 11 novembre 1572 par Tycho Brahé, brillantes en plein jour ; terme de la vie d’une étoile massive. L’explosion libère une lumière équivalente à celle de 10 000 milliards de soleils.
– Les étoiles éruptives : émission bleue puis éruption augmentant leur luminosité de 10 000 en un jour.
– Etoiles infrarouges : Eta Carinae, 1 million de fois plus brillante que le soleil, émet 99% de son énergie dans les infrarouges invisibles à cause de cocons de poussières.
– Galaxies infrarouges : J. Low découvre ces galaxies en 1967. Très poussiéreuses, elles donnent naissance à beaucoup d’étoiles. Elles émanent des rayons infrarouges, des rayons X et des ondes radio.
– Sources super-luminiques : en 1970, Shapiro nota certaines radio-sources s’éloignant à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière ; en fait vitesse apparente selon l’observation.
Question : Mais quelle est l’influence de toutes ces émissions et rayonnements sur la vie humaine elle-même ?
Comme on peut le constater lorsqu’on analyse tous les rayonnements et émissions diverses qui nous atteignent en provenance de l’Univers, l’être humain baigne continuellement dans un plasma d’énergies diverses et comme le corps physique représente lui-même un complexe énergétique fait de carbone, azote, oxygène, et hydrogène (C.A.O.H.) et de quelques sels minéraux et métalliques, les évolutions des systèmes microcosmiques et macrocosmiques interfèrent continuellement avec l’évolution organique et psychique humaine. On peut donc considérer que si un système planétaire voit sa structure énergétique modifiée, l’ensemble des créatures à ce système verront leur équilibre modifié.
Question : Peut-on considérer que la Terre subit également l’influence de ces interactions énergétiques ?
A l’heure actuelle sur la Terre, l’explosion de bombes atomiques a considérablement modifié l’équilibre énergie-matière de la planète puisque la désintégration atomique artificiellement créée par l’homme a provoqué la dématérialisation de la matière en énergie d’une manière beaucoup plus accélérée que les rythmes de désintégration atomique naturelle. Par ce fait, il y a une accélération évolutive anormale du rythme d’existence de la planète. Le système de contention matérielle qu’est la croûte terrestre par rapport au magma énergétique stellaire du centre de la Terre se trouve affaibli et l’ensemble de la planète, y compris les créatures qui y vivent, subissent une accélération de leur évolution par un passage plus rapide d’un certain niveau de condensation à un niveau plus énergétique. De même que les molécules d’un gaz ont un degré de liberté plus vaste que les molécules d’un solide, la décondensation planétaire de la matière en énergie provoque une poussée de forces anarchiques violentes qui envahissent le psychisme humain d’une manière explosive s’il n’y a pas une transformation des consciences et la mise en place de nouveaux contrôles sur ces surpressions énergétiques, d’où l’arrivée d’une surveillance extraterrestre accrue pour freiner l’accélération anarchique de ces poussées énergétiques anormales.
Question : Quelles sont les conséquences immédiates de cette situation ?
Dans les conditions actuelles, le futur possible de la planète peut être envisagé selon plusieurs scénarios :
1er cas : Affrontements atomiques graves entre Terriens
Dans ce cas, la plus grande partie sinon la totalité de l’humanité serait détruite ou profondément désorganisée. Il est à espérer que les dirigeants de grandes puissances, soucieux de préserver leur confort personnel, n’iront pas jusqu’à déclencher cette folie qui les concernerait obligatoirement aussi, à un moment ou un autre, dans leurs avantages et privilèges. Mais la gravité de la situation vient plutôt de la banalisation des armes atomiques qui conduit au fait que des fanatiques du terrorisme peuvent déjà se procurer, par le biais de trafiquants d’armes sans scrupules, des bombes A, conduisant à tous les chantages possibles et à des engrenages apocalyptiques.
Une telle catastrophe évidemment ne concernerait pas seulement l’humanité, mais certainement d’autres systèmes universels dont la science terrienne actuelle ne peut envisager clairement les possibilités d’interaction. Néanmoins, rien ne nous empêche de penser que les actions de l’humanité dépassant le cadre de son champ de liberté impartie, il n’y aurait pas intervention d’autres présences de type extraterrestre agissant de manière progressive ou brutale selon l’urgence de la situation.
Question : Quel est l’avenir de l’humanité ?
2ème cas : débarquement extraterrestre
Si les débordements incontrôlés de la civilisation terrienne dérangent d’autres civilisations, il n’est pas impossible que l’humanité ait à affronter dans les décennies à venir des interventions extraterriennes déterminant la soumission de la race humaine par des moyens télépathiques et énergétiques inconnus conduisant à une neutralisation totale de tous les belligérants potentiels. Ceci dans le meilleur des cas ; mais il peut aussi exister des civilisations extraterriennes qui envisageraient une élimination totale de la race humaine. Il est possible que, selon les degrés d’évolution des races extraterrestres, le degré d’agressivité soit plus ou moins grand, ce qui nous laisse espérer l’existence de contrôles protégeant les civilisations moins avancées contre des conquérants de l’espace par trop agressifs.
Question : Peut-on espérer un autre programme ?
3ème : débarquement extraterrestre limité et secret
On peut envisager que les différentes races en présence sur la Terre sont en relation de résonance avec des races extraterrestres d’origine, d’évolution et d’état d’esprit différent vis-à-vis des humains. C’est pourquoi, en cas de catastrophe planétaire, il pourrait y avoir intervention de races galactiques pour éventuellement sauver au moins une partie des Terriens qui seraient emmenés dans une autre zone spatio-temporelle. Il se pourrait aussi que ce ne soit pas en fonction de races biologiques, mais d’un certain niveau psychophysiologique et spirituel atteint, que les individus seraient sélectionnés pour un transfert dans un champ temporel différent qui, avec les lois de la relativité appliquées à l’espace-temps ferait qu’un voyage de trois mois dans l’hyperespace équivaudrait en fait à une absence de 3000 ans en temps terrestre, ce qui permettrait l’apaisement de la nature après les affrontements atomiques et autoriserait la réinjection sur la planète d’un groupe humain dûment préparé et organisé pour continuer l’évolution humaine sur Terre selon de nouvelles valeurs.
C’est éventuellement une telle possibilité qui peut justifier une certaine écoute vis-à-vis de dimensions extraterrestres qui semblent au cours du temps avoir gardé une certaine surveillance sur l’évolution humaine.
Question : Si les E.T. disposent de telles possibilités d’intervention et qu’ils ne l’ont pas déjà fait, quel serait alors leur programme en cours ?
4ème cas : réconciliation des humains entre eux
Cela demanderait à l’esprit humain de sortir des affrontements dualitaires issus d’une éducation basée sur une rationalité, une dialectique et une science binaire. La réconciliation des hommes entre eux ne peut se faire que par un effort soutenu pour l’émergence d’une optique unitaire raccordant l’esprit humain aux présences spirituelles conceptualisatrices de la trame cosmique, l’âme humaine aux énergies créatrices des figures universelles et le corps humain aux forces réalisatrices des formes matérielles.
D’où la nécessité d’établir progressivement une science unitaire dégageant une meilleure compréhension des interactions entre les champs spirituels, mentaux, psychiques, vitaux, substantiels, sociologiques, matériels et universels dont la reconnaissance et l’harmonisation reste la seule et véritable démarche vers la paix intérieure et extérieure. Cette pacification étant la condition fondamentale réclamée aux Terriens par les extraterriens, lors de certains contacts pour le rattachement de la civilisation humaine actuelle au réseau de télédiffusion de la Confédération Galactique centralisant les planètes civilisées de l’Univers local dont la Terre fait partie.
Question : Mais que pouvons-nous faire à l’heure actuelle pour freiner l’engrenage autodestructif ?
Pour sortir de l’enfer qui est l’inférieur à l’envers, il faut s’élever vers le Paradis qui est le supérieur à l’endroit, et comme pour s’élever, il faut s’unifier, le freinage de l’engrenage infernal autodestructif peut se faire si chaque individu affirme en lui l’essentialité immortelle qui lui permet de se définir hors de l’accessoire. En sachant que le cristal de perfection peut se construire au milieu d’une solution saturée d’imperfection à condition d’être dans le monde sans être du monde pour réaliser l’harmonisation des rapports entre le champ matériel de la Création, le champ énergétique des Créatures et le champ spirituel du Créateur. Si un individu s’est décidé à redompter sa bête instinctive, alors son esprit cosmique s’approche de lui, puis bientôt d’autres êtres qui poursuivent le même but entrent en résonance et le rejoignent, ce qui crée un groupe humain dont la présence et l’influence peuvent participer à la réharmonisation pacifique de la Terre. C’est ce que je poursuis depuis plusieurs années avec diverses communautés d’amis dans plusieurs pays, car la vraie fraternité est au-delà des patries et des mondes.
Notre planète aurait évité des catastrophes irréversibles grâce à l’aide des hiérarchies supérieures