PRESENCE EXTRATERRESTRE DU MICROSCOPIQUE AU MACROCOSMIQUE
 INTERVIEW REALISEE AUPRES DE I.J.P. APPEL GUERY
 Comment aborder actuellement l’Ă©tude du phĂ©nomène extraterrestre ?
L’ufologie traitant de l’Ă©tude statistique des observations OVNI, l’exobiologie traitant de la vie possible dans l’univers et la psychophysiologie Ă©tudiant les rapports de la pensĂ©e et de la physiologie terriennes avec d’autres types de crĂ©atures et de civilisations extraterrestres, il existe enfin le domaine des recherches concernant la communication et les Ă©changes possibles par le langage ou divers signaux avec d’autres types de crĂ©atures.
Est-il possible d’envisager une communication avec des consciences extraterrestres ?
 Des essais de communications intelligentes ont Ă©tĂ© faits avec des espèces diffĂ©rentes telles que les singes, les dauphins, les chiens, les oiseaux. Mais la communication avec d’autres crĂ©atures de l’univers peut s’avĂ©rer encore plus difficile Ă comprendre dans la mesure oĂą l’origine, la structure et le rapport Ă l’environnement vibratoire ne sont pas analysĂ©s de la mĂŞme manière en fonction de sensibilitĂ©s ou de niveaux de conscience diffĂ©rents.
 D’autre part, on doit aussi assimiler l’idĂ©e que la conscience dĂ©pend de l’Ă©chelle d’apprĂ©ciation oĂą l’on se place. Dans ce sens, qui peut le plus peut le moins, et donc si la conscience d’une bactĂ©rie peut difficilement concevoir la nature totale d’un homme ou du cosmos, par contre, l’homme peut très bien observer et comprendre le fonctionnement et la structure globale d’une bactĂ©rie.
A quel niveau peut-on situer l’ĂŞtre humain ?
Rien ne nous empĂŞche de concevoir que la pensĂ©e humaine se dĂ©ploie dans un continuum se trouvant situĂ© entre un niveau de conscience qui existe dans l’infiniment petit et un type de conscience se dĂ©ployant dans l’infiniment grand. On pourrait alors dĂ©finir trois grands types de conscience :
- des consciences de type particulaire pouvant dĂ©velopper des civilisations minuscules Ă durĂ©e de vie extrĂŞmement brève, dans un continuum microcosmique tendant vers l’infiniment petit;
- des consciences de type humanoĂŻde dĂ©ployant des civilisations comprĂ©hensibles Ă nos consciences, d’une durĂ©e de vie moyenne dans un continuum accessible Ă nos cinq sens tendant vers l’infinie complexitĂ© caractĂ©risant la vie;
- des consciences de type stellaire reliĂ©es Ă des civilisations gigantesques Ă durĂ©e de vie immensĂ©ment longue dans un continuum macrocosmique tendant vers l’infiniment grand et donc difficilement comprĂ©hensible dans sa totalitĂ© pour nos consciences plus limitĂ©es.
Mais alors, quelles peuvent ĂŞtre la dĂ©finition et les caractĂ©ristiques de ce que l’on appelle un ĂŞtre vivant ?
Si la conscience peut se manifester grâce aux supports macromolĂ©culaires Ă©laborĂ©s par la vie dominĂ©e sur Terre essentiellement par la chimie du carbone et par les forces Ă©lectromagnĂ©tiques qui assurent les liens entre les diffĂ©rents atomes, on peut extrapoler, comme l’a fait Freeman Dyson de l’UniversitĂ© de Princeton, pour qui l’intelligence dĂ©pend de la complexitĂ© d’une structure quelle que soit la substance qui la constitue.
La conscience et la vie demanderaient donc des structures complexes relativement stables, très riches en informations, susceptibles de reproduction et d’interaction organisĂ©e avec l’environnement dans une optique prĂ©cise, pour se dĂ©velopper et occuper tout l’espace disponible.
Peut-on envisager d’autres types de crĂ©atures dans l’Univers ?
Fort de cette dĂ©finition Ă©largie de la conscience et de la vie, on peut envisager des ĂŞtres vivants crĂ©Ă©s par l’interaction nuclĂ©aire : c’est l’opinion de l’astronome F. Drake qui a imaginĂ© une vie possible non chimique sur des Ă©toiles Ă neutrons faisant en moyenne 15 km de diamètre et dont la masse de 1 Ă 3 fois celle du soleil les rend hyperdenses (un dĂ© Ă coudre : 1 milliard de tonnes), leur tempĂ©rature Ă©tant de 1 million de degrĂ©s K et leur vitesse de rotation très rapide.
 La force d’attract intranuclĂ©aire, beaucoup plus forte que la force Ă©lectromagnĂ©tique, peut crĂ©er une sorte de liquide hyperdense de neutrons dont la croĂ»te est faite de noyaux de fer très stables.
 Quand une Ă©toile Ă neutrons se refroidit, il se crĂ©e des chaĂ®nes de montagnes de plusieurs millimètres de haut, des fissures se font sur plusieurs dizaines de mètres, des liquides neutroniques s’exsudent et des nuages de vapeur de fer surgissent jusqu’Ă la stratosphère qui est Ă 15 cm au-dessus de la surface de l’Ă©toile Ă neutrons.
 Question : Mais qui pourrait exister dans un tel milieu ?Â
Les forces nuclĂ©aires agissant sur les particules en prĂ©sence finissant par crĂ©er des structures suffisamment complexes pour donner naissance, avec le temps, Ă des ĂŞtres intelligents qui pourraient mesurer la taille d’un proton (10-13 cm), se dĂ©plaçant Ă la vitesse de 1000 km/seconde, parcourant donc 1,70m – la taille d’un homme – en 10-21 secondes, ce qui Ă©quivaut Ă une seconde de notre temps.
Un tel type de noyau vivant, constituĂ© de 1025 particules, d’une durĂ©e de vie d’un millionième de milliardième de seconde (10-20) aurait l’impression de vivre 100 ans, car il aurait au cours de sa “vie”, des milliers d’interactions avec d’autres noyaux vivants de sa race.
Si, sur Terre, il a fallu 2 milliards d’annĂ©es pour passer des amas protoplasmiques primitifs Ă la cellule vivante organisĂ©e, par analogie le temps Ă©tant 1021 fois plus petit, il ne faudrait pas plus d’un trentième de seconde pour l’apparition de la vie nuclĂ©aire Ă la surface d’une Ă©toile Ă neutrons; l’Ă©volution extrĂŞmement rapide conduirait Ă des ĂŞtres vivants 10-15 secondes, d’une taille d’un millième de milliardième de cm, percevant les rayons ultraviolets, X ou Gamma, qu’ils utiliseraient pour envoyer leurs messages intersidĂ©raux.
 Leur civilisation technologique semblable Ă la nĂ´tre Ă©voluerait très vite et pourrait s’autodĂ©truire en un milliardième de seconde. Donc en une seule vie plusieurs millions de civilisations nuclĂ©aires pourraient se succĂ©der sur une Ă©toile Ă neutrons.
 Question : Quels sont alors les types d’Ă©mission venant Ă©ventuellement de ces niveaux d’Ă©nergie que nous pouvons capter actuellement sur Terre ?
 Emissions microcosmiques :
–         Sursauts Gamma : en 1963, les satellites US VĂ©la dĂ©tectent des bouffĂ©es de rayon X et Gamma de quelques secondes Ă©quivalentes Ă mille millions de milliards de mĂ©gatonnes d’explosif venant d’objets cĂ©lestes mystĂ©rieux.
 –         Fond X : en 1962, Giaconnie et Rossi ont dĂ©tectĂ© des RX emplissant tout l’espace, liĂ©s Ă©ventuellement au Big-Bang primordial.
–         Rayons cosmiques : le 7 aoĂ»t 1912, Victor Hess dĂ©couvre des particules Ă©lectriques en haute atmosphère; origine : soleil et autres.
–         Fond Gamma : rayon Gamma venant du centre de la voie lactĂ©e et de tout l’univers.
–         Pulsars : en octobre 1967, Jocelin Bell dĂ©couvre une Ă©mission radio venant d’Ă©toiles Ă neutrons tournant sur elles-mĂŞmes rapidement.
–         Massers cosmiques : en 1954, Charles Townes dĂ©couvre des nuages interstellaires qui amplifient très prĂ©cisĂ©ment certaines frĂ©quences d’ondes courtes.
–         Etoiles X : Ă©toiles rares (200 connues), souvent en couples, Ă©mettant Ă intervalles rĂ©guliers des RX, surtout au cours du transfert de matière entre les deux partenaires.
–         Galaxies et amas Ă rayons X : en avril 1965, la fusĂ©e Arobee dĂ©couvre 2 sources de RX extragalactiques, Messier 87 et Cygnus A, extrĂŞmement puissantes.
Question : Mais qu’est-ce qui peut nous prouver qu’il y a un quelconque type de conscience derrière ces divers rayonnements cosmiques ?
 Evidemment, si l’avance technologique terrienne permet de capter de telles Ă©missions de RX et de rayons Gamma, l’analyse fine ne permet pas encore de vĂ©rifier s’il y a une modulation de ces ondes porteuses qui signifierait l’existence de dimensions de conscience microcosmiques.
 En tout cas, ce que nous pouvons conclure c’est que la communication avec une dimension de conscience issue de ce type de civilisation hyper avancĂ©e par rapport Ă nous pourrait ressembler Ă un Ă©clair de gĂ©nie, permettant de faire progresser l’ĂŞtre humain et l’humanitĂ© d’un Ă©tat de vie très condensĂ© Ă un Ă©tat plus Ă©nergĂ©tique, donc plus fluide et plus libre.
 Néanmoins, la communication avec de tels niveaux de conscience demanderait des opérations proches de la nôtre doivent pouvoir se faire, dans la mesure où les évolutions technologiques et spirituelles se trouvent dans des rapports accordables.
 C’est pourquoi une recherche des Ă©missions extraterrestres est faite actuellement au niveau scientifique.
Question : OĂą en sont les recherches Ă l’heure actuelle ?
 Depuis 1981 le tĂ©lescope de Nancay en France est Ă l’Ă©coute d’Ă©missions extraterrestres, de mĂŞme que le radiotĂ©lescope de Greenbauk aux USA.
Le programme CETI (Communication with Extraterrestrial Intelligences), lancé par les Soviétiques, a réalisé la surveillance radio de plus de 600 étoiles pendant quelques minutes.
Paul Horowitz, Ă Havard, a construit la balise de SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence) qui possède 65.436 canaux de 2000 Hz chacun, couvrant une centaine de MgHz sur l’Ă©chelle des frĂ©quences pour l’Ă©coute d’Ă©mission ET.
Mais ces Ă©missions radio ET sont perturbĂ©es par les parasites radio venant des particules Ă©lectrisĂ©es en mouvement dans les galaxies et par les molĂ©cules d’eau atmosphĂ©riques, c’est pourquoi la zone d’Ă©coute se situe le plus favorablement entre 1000 et 100 000 MHz.
Question : Quels sont les résultats obtenus ?
 A partir des observations, un certain nombre de rĂ©sultats ont pu ĂŞtre enregistrĂ©s, qui manifestent une très grande activitĂ© radioĂ©lectrique et magnĂ©tique dans l’univers.
A titre d’exemple, voici quelques dĂ©couvertes actuelles :
- Rayonnement radio-isotrope : en 1965, A. Penzias et W. Wilson captent au New-Jersey un rayonnement radio sur 7,5 cm emplissant tout l’univers et rĂ©sultant Ă leur avis d’un reste radio du Big-Bang.
- Radio-sources non identifiées : ces nombreuses radio-sources non détectées dans le visible se trouvent en dehors de la voie lactée.
- Radio-galaxies : en 1946, dĂ©couverte de Cygnus, première radio-source, par S. Hey. Les grandes (100 000 annĂ©es-lumière) ont des Ă©missions rĂ©gulières. Les petites (quelques semaines d’annĂ©es-lumière) ont des variations d’intensitĂ© d’Ă©mission.
- Quasars : noyaux de galaxies très actifs dont le rayonnement radio et stellaire est inhabituel et déclaré vers le rouge.
- Etoiles magnĂ©tiques : en 1946, H. Babcock de l’observatoire du Mt Wilson dĂ©couvrit le puissant champ magnĂ©tique de l’Ă©toile lointaine 78 Virginis. Les champs magnĂ©tiques stellaires plus ou moins variables ont une pĂ©riode de 25 jours.
- Champs magnétiques inter-stellaires : en 1949, Enrico Fermi découvre ces champs magnétiques qui pourraient accélérer les particules des rayons cosmiques.
Cependant l’Ă©coute radio, telle que nous la pratiquons sur Terre avec nos habitudes de conscience et de communication, n’est pas forcĂ©ment accordĂ©e aux types de communications extraterrestres qui peuvent rĂ©sulter d’une synthèse entre la radio et la tĂ©lĂ©pathie, le raisonnement et la rĂ©sonance. En consĂ©quence on captera peut-ĂŞtre, avec les instruments, la trace de l’onde porteuse mais pas forcĂ©ment la modulation correspondante qui sera d’ordre tĂ©lĂ©pathique.
Question : Qu’est-ce qui vous conduit Ă penser cela ?
Certaines observations rĂ©alisĂ©es au cours de contacts entre terriens et extraterrestres nous conduisent Ă abonder dans cette optique, vu que les sonoritĂ©s Ă©mises ressemblent parfois plus Ă des sortes de sifflement qu’Ă des mots, comme lors du contact qui eut lieu Ă Valensole dans le Var (France) oĂą le tĂ©moin contactĂ© entendit cette sorte de communication mi-sonore, mi-tĂ©lĂ©pathique entre deux ET de petite taille Ă cĂ´tĂ© de leur vaisseau.
Evidemment, chaque race galactique peut avoir son type particulier de communication en fonction de sa morphologie, de son Ă©volution biologique et technologique.
Question : Que doit-on penser des contacts avec les extraterrestres ?
Divers documents et contacts permettent d’Ă©tablir l’existence d’autres races qui seraient en contact avec la Terre et dont on pourrait faire une classification succincte selon la taille, les caractères et le degrĂ© de civilisation atteint :
    LES PETITS – de 0,30 m Ă 1,20 m
 –         Les ĂŞtres de RĂ©ticuli : 1,20 m, visage et corps fins.
 –         Les ĂŞtres d’Andromède : 0,30 m, vĂ©hicules de forme-Ă©nergie, très intelligents.
    LES ETRES MOYENS – 1,60 m Ă 2,50 m
–         De la planète Iarga : 2 m, issus d’une civilisation avancĂ©e.
 –         Les Lyriens, corps Ă©lancĂ©, civilisation 5000 ans d’avance sur les Terriens.
–Â Â Â Â Â Â Â Â Â Les VĂ©gans, de VĂ©ga, Ă la peau mate, visage triangulaire, 3200 ans en avance sur nous.
–Â Â Â Â Â Â Â Â Â Les Dals, morphologie caucasienne, 3600 ans en avance.
–         Les PlĂ©iadiens, peau très fine, très proches des Terriens, 3000 ans d’avance.
–         Les Bauis, dĂ©jĂ prĂ©sents sur Terre au temps de l’HyperborĂ©e.
–Â Â Â Â Â Â Â Â Â Ceux d’Alpha du Centaure, grands, blonds, disposant d’un dynamisme psychomoteur.
–         Ceux de Procyon, peau jaune ou vert clair, vie très collective.
– Â Â Â Â Â Â Ceux d’Orion, race assez corpulente, instructeurs.
     LES  NAINS, LES ROBOTS, LES CYCLOPES, LES GEANTS, LES DIVERS
–       Ceux d’Epsilon Eridoni, peau d’Ă©caille rugueuse, 2 m, technologie avancĂ©e, Ă©toile Ă 20 annĂ©es-lumière de la Terre.
 –         AndroĂŻdes, mi humains, mi robots vus par Enrique Castello dans un vaisseau.
 –         Les GĂ©ants HyperborĂ©ens, 7 Ă 8 m de haut, traces de leurs pieds en PolynĂ©sie.
 –         Ceux du Cygne, peau foncĂ©e, amphibiens.
 Question : Mais y a-t-il eu des contacts antérieurement à notre époque ?
 On peut Ă©galement se demander si des communications ont eu lieu au cours de l’histoire et la protohistoire entre Terriens et reprĂ©sentants d’autres civilisations extraterrestres. De nombreux Ă©crits, tableaux ou sculptures relatant de tels contacts, des ouvrages entiers ont Ă©tĂ© consacrĂ©s Ă ces preuves (ouvrages spĂ©cialisĂ©s). Par contre ce qui est moins connu, c’est ce qui fut enseignĂ© par ces visiteurs venus d’ailleurs.
A partir de certains contacts rĂ©alisĂ©s Ă notre Ă©poque, des archives extraterrestres ont permis de prĂ©ciser le rĂ´le de certains messagers venus d’ailleurs.
–         Hornuck, venu d’une planète situĂ©e Ă 1 milliard d’annĂ©es de la Terre enseigna la biologie, le matriarcat et la sculpture dans l’empire de Mu.
–         Baal-Ha-NĂ©philim, montra Ă la race blanche (Celtes, Armoricains, Barconiens, druides, etc…) comment diriger les menhirs selon le point vernal et comment rĂ©gulariser les cultures après le cataclysme qui avait dĂ©truit Mu.
 –      L’Hug, instructeur venu de la planète Ortog près de la constellation du Cygne (P’Gug en Lamnorien), enseigna la disposition et le fonctionnement des courants telluriques selon les veines du Dragon de la Terre. Il fit Ă©riger les menhirs stabilisateurs de ces courants particulièrement sur la France qui compte le plus grand nombre de dolmens et menhirs du monde (3000 Ă 4000) disposĂ©s en une spirale centralisĂ©e sur le village de Loye d’oĂą le jeu de l’oie en spirale initiatique et très ancien. Les villes comme Lugdunum (Lyon), Lutèce, Lourdes, Loudin, Lons-le-Saunier, Luc-en-Diois, Lausanne, Lussac, Lyons-la-ForĂŞt, Lugasson, Luçay-le-Mâle, Lugan, Luxeuil, font partie de cette spirale tellurique de l ‘Hug.
 –         Baale Ha Sud, transmit l’histoire protohistorique dont les traces se retrouvent dans la kabbale quand on en possède les clefs.
 –         Empilim, hyperborĂ©en, instructeur du système de Polaris.
 –         Quetzalcoalt, enseigna les Aztèques, les Toltèques, les Incas et l’AmĂ©rique du Nord il y a 150 000 ans.
 –         Barts, cyclope gĂ©ant, technicien, de 3 Ă 5 m de haut, qui apporta les premiers rudiments de fonderie, de forge, de mĂ©tallurgie, dont la fabrication de l’Aurichalque. Il venait de la troisième planète tournant autour d’Arcturus.
 –         Bearetz, cyclope gĂ©ant qui indiqua la manière de capter l’Ă©nergie tellurique et l’Ă©nergie solaire.
 –         Auza et Ghzal, venus de la planète Ortog, instruisirent les peuplades africaines : les peuples actuels en parlent encore comme de dieux volants aux ailes grises, enseignant le bien.
 –         Brahm’, il “apparaĂ®t” au Moyen-Orient entre Ur et Babylone. Venu “d’ailleurs” en vaisseau, il se rendit en Inde, se maria et eut plusieurs enfants qui le dĂ©fièrent plus tard. Brahm’ venait d’un commando qui se trouvait sur la Lune et ses Ă©lèves avaient pris le nom d’AzraĂ«l, d’oĂą est issu IsraĂ«l, signifiant “fils de la Lune”.
 –         Noah – NoĂ©, fils de Bat Enoch et d’un fils des cieux.
 –         Osiris, fils de Geb et de Neut, dont un dieu fils de la Terre et du Ciel.
 –         Orejona, vierge aux longues oreilles, arrivĂ©e Ă l’ère tertiaire. Elle crĂ©a une race nouvelle dans la rĂ©gion du Lac Titicaca oĂą elle se dĂ©veloppa puis Ă©migra ensuite vers l’Ile de Pâques.
 Question : Tous ces messagers sont inconnus historiquement, mais y en a-t-il eu de plus connus qui puissent être considérés comme étant reliés à une dimension extraterrestre ?
 –         Mahelsa, venu d’HyperborĂ©e, connu sous le nom de MoĂŻse, fils d’un hyperborĂ©en, Gh’Hurt, et de la fille du Pharaon. Mahelsa repartit en Vimana, sa mission terminĂ©e.
 –         Elie, venu d’une planète situĂ©e Ă 1 milliard d’annĂ©es-lumière, centrĂ©e sur une Ă©toile de huitième grandeur.
 –         Enoch, prophète venu “d’ailleurs” pour instruire.
 –         Ezechiel, prophète venu “d’ailleurs” pour instruire.
–         Ram, venu de ThulĂ© pour instruire les Celtes, GaĂ«ls, Armoricains, Biscayens, Vighuts.
 –         Cakya-Mouni le Bouddah, le sage. NĂ© au bord du Gange par insĂ©mination artificielle, originaire d’une planète situĂ©e Ă un milliard d’annĂ©es-lumière. C’est le premier qui parla de l’Ă©galitĂ© de toutes les races.
–         Hoodlum, il y a une centaine d’annĂ©es, cet instructeur Ă©duqua un petit groupe d’initiĂ©s vers le grand nord, dont Jules Vernes faisait partie.
Question : Ces révélations sont pour le moins troublantes. Mais en général quel moyen de communication ou de langage a pu être utilisé par ces messagers pour se faire comprendre ?
Ces divers instructeurs communiquèrent leurs informations avec des langages et des moyens divers. Parmi les moyens de communication extraterrestres existe Ă©videmment la tĂ©lĂ©pathie qui, des prophètes anciens jusqu’aux tĂ©lĂ©pathes modernes, en passant par Jeanne d’Arc, fait entendre aux contactĂ©s une sorte de voix intĂ©rieure rĂ©vĂ©lant ou guidant selon les messages reçus. Lors de contacts physiques, le mode de transmission entre extraterrestres a Ă©tĂ© perçu parfois comme un sifflement (cf prĂ©cĂ©demment, Ă Valensole). D’ailleurs, il existe des bergers aux Canaries qui Ă travers les montagnes se communiquent des messages relativement Ă©laborĂ©s grâce Ă des sifflements. Dans d’autres cas de contact, il a Ă©tĂ© fait mention de l’utilisation d’un traducteur de langue qui semblait agir sur les facultĂ©s cĂ©rĂ©brales, permettant aux interlocuteurs de parler des langues qui leur Ă©taient inconnues auparavant.
 Question : Que savez-vous des langages extraterrestres ?
 Evidemment le nombre de langages dans l’Univers doit ĂŞtre incommensurable quand on pense que dĂ©jĂ sur la Terre on estime Ă 2500 ou 3000 le nombre de langues et dialectes parlĂ©s.
 NĂ©anmoins, ce que l’on peut constater, c’est que les langages dans l’Univers varient selon les niveaux vibratoires d’existence des crĂ©atures. Il y a les langues des mondes de puissance correspondant Ă des sortes de mots-forces mettant en route certaines vibrations proches des plans condensĂ©s de matière. On retrouve ce pouvoir du son dans le “kai” des arts martiaux japonais et dans cet acte crĂ©ateur dont la bible parle, lorsqu’Adam nomme les animaux pour les crĂ©er. D’autres langues sont en corrĂ©lation par un monde de symboles très Ă©laborĂ©s qui se relie Ă la Trame Cosmique ; des correspondances existent entre, par exemple, des langues galactiques comme le Lamnhorien qui dĂ©signe la planète explosĂ©e des astĂ©roĂŻdes sous le nom de TahenNoura alors que le Solexmal, autre langage galactique la dĂ©signe sous le nom de Malone ; par contre d’autres l’ont dĂ©signĂ©e sous le nom de Tyr ou LucifĂ©ra, mais chaque fois cela traduit essentiellement comme dĂ©signant une Terre-Lumière pour des raisons protohistoriques prĂ©cises. Enfin, il existe un autre moyen de communication universelle qui est le pentacle gĂ©omĂ©trique et les codages numĂ©rologiques interdimensionnels.
 Question : Est-ce qu’il est possible de restituer tout cela dans le cadre rationnel de la science terrienne actuelle ?
 Il est Ă©vident qu’Ă ce stade les explications deviennent extrĂŞmement complexes car le cerveau humain peut enregistrer normalement 2 pulsations par seconde dans la succession des pensĂ©es alors que des crĂ©atures galactiques peuvent enregistrer plusieurs millions de pulsations par seconde.
 D’ailleurs, les prochains cerveaux Ă©lectroniques du programme starwar des Etats-Unis devront ĂŞtre capables de rĂ©aliser 10 millions d’opĂ©rations par seconde. Cependant la numĂ©rologie extraterrestre n’est pas la mĂŞme que sur Terre, car chaque chiffre est une sorte d’ĂŞtre vivant correspondant Ă une infinitĂ© de corrĂ©lations conscientes et Ă©nergĂ©tiques qui se rĂ©duisent Ă©videmment assez difficilement au niveau du raisonnement intellectuel habituel de la science terrienne actuelle.
Question : En fonction de tout cela, il semblerait difficile d’accĂ©der Ă une communication prĂ©cise avec les extraterrestres…
 Cependant le cerveau avec ses 14 milliards de neurones a des capacitĂ©s de synthèse considĂ©rables qui se dĂ©roulent continuellement au-delĂ de la conscience de veille ; c’est pourquoi il peut exister la possibilitĂ© de transcription de (tous) ces codages numĂ©rologiques galactiques au-delĂ de la conscience de veille du nĂ©encĂ©phale et il peut y avoir perception de correspondances en accord avec la trame universelle de conscience-Ă©nergie, d’oĂą la possibilitĂ© de messages prĂ©monitoires par accès de la conscience Ă un monde principiel oĂą les corrĂ©lations intemporelles sont antĂ©rieures aux codages des rayons temps numĂ©rologiques et des architectures spatiales rĂ©alisant des figures ou des situations particulières dans le plan formel. Par le nombre, on passe donc progressivement de la physique Ă la mĂ©taphysique qui veut dire: au-delĂ du physique.
 Question : Mais à quoi cela peut-il conduire ?
 Cela nous conduit donc tout naturellement Ă nous poser la question de savoir s’il n’y aurait pas Ă envisager l’existence d’une autre dimension extraterrestre qui serait tout simplement celle qui entoure la Terre avec les autres planètes, les Ă©toiles, les galaxies. Dans cette optique et pour complĂ©ter la description des ĂŞtres vivants crĂ©Ă©s par interactions nuclĂ©aires sur l’Ă©toile Ă neutrons et ceux crĂ©Ă©s par interaction gravitationnelle comme l’ont imaginĂ© Donald Goldsmith de Berkeley et F. Owen de l’universitĂ© de New York.
 Question : Comment peut-on envisager cela ?
 Les galaxies regroupent dĂ©jĂ plusieurs milliards d’Ă©toiles dont les plus organisĂ©es sont les galaxies spirales, mais l’organisation reste quand mĂŞme moins complexe que celle d’une cellule vivante, car trop peu de temps s’est Ă©coulĂ© depuis le dĂ©but de l’Univers pour qu’une vie gravitationnelle puisse ĂŞtre rĂ©alisĂ©e : 15 milliards d’annĂ©es jusqu’Ă nos jours reprĂ©sentent trop peu de temps Ă l’Ă©chelle des galaxies pour l’Ă©laboration d’un organisme galactique, l’unitĂ© de temps galactique n’Ă©tant pas la seconde mais le million d’annĂ©es.
Question : OĂą en est la vie gravitationnelle alors ?
 La vie gravitationnelle n’en est qu’Ă un stade Ă©quivalent Ă l’Ă©tat de la Terre quelques instants après sa formation. La sĂ©lection naturelle et le passage de l’inertie au vivant n’est pas encore rĂ©alisĂ©, mais rien n’empĂŞche de croire que d’ici quelques milliards d’annĂ©es, structures d’Ă©toiles suffisamment complexes donnent naissance Ă une vie de gĂ©ants aux corps faits d’Ă©toiles et de galaxies. Bien entendu, rien ne prouve que la trame Ă©nergĂ©tique de ces organismes n’existe pas dĂ©jĂ et que l’Univers fonctionne comme un grand ĂŞtre vivant dont la microbienne nature humaine ne peut analyser le fonctionnement que très partiellement. NĂ©anmoins, malgrĂ© notre technologie et notre Ă©volution terrienne limitĂ©e, il y a dĂ©jĂ un certain nombre d’Ă©missions macrocosmiques qui parviennent jusqu’Ă la Terre et on a pu dĂ©jĂ enregistrer toutes sortes d’originalitĂ©s dans le fonctionnement du grand organisme stellaire.
Question : Quelles sont ces Ă©missions ?
 Emissions macrocosmiques :
 –         Etoiles variables pulsantes cĂ©phĂ©ĂŻdes : le 19 octobre 1794, John Goodrick d’York dĂ©finit 3 sortes d’Ă©toiles : rĂ©gulières, très rĂ©gulières, peu rĂ©gulières.
–     Novae et supernovae : dĂ©couvertes le 11 novembre 1572 par Tycho BrahĂ©, brillantes en plein jour ; terme de la vie d’une Ă©toile massive. L’explosion libère une lumière Ă©quivalente Ă celle de 10 000 milliards de soleils.
–        Les Ă©toiles Ă©ruptives : Ă©mission bleue puis Ă©ruption augmentant leur luminositĂ© de 10 000 en un jour.
–        Etoiles infrarouges : Eta Carinae, 1 million de fois plus brillante que le soleil, Ă©met 99% de son Ă©nergie dans les infrarouges invisibles Ă cause de cocons de poussières.
–        Galaxies infrarouges : J. Low dĂ©couvre ces galaxies en 1967. Très poussiĂ©reuses, elles donnent naissance Ă beaucoup d’Ă©toiles. Elles Ă©manent des rayons infrarouges, des rayons X et des ondes radio.
–       Sources super-luminiques : en 1970, Shapiro nota certaines radio-sources s’Ă©loignant Ă une vitesse supĂ©rieure Ă la vitesse de la lumière ; en fait vitesse apparente selon l’observation.
 Question : Mais quelle est l’influence de toutes ces Ă©missions et rayonnements sur la vie humaine elle-mĂŞme ?
 Comme on peut le constater lorsqu’on analyse tous les rayonnements et Ă©missions diverses qui nous atteignent en provenance de l’Univers, l’ĂŞtre humain baigne continuellement dans un plasma d’Ă©nergies diverses et comme le corps physique reprĂ©sente lui-mĂŞme un complexe Ă©nergĂ©tique fait de carbone, azote, oxygène, et hydrogène (C.A.O.H.) et de quelques sels minĂ©raux et mĂ©talliques, les Ă©volutions des systèmes microcosmiques et macrocosmiques interfèrent continuellement avec l’Ă©volution organique et psychique humaine. On peut donc considĂ©rer que si un système planĂ©taire voit sa structure Ă©nergĂ©tique modifiĂ©e, l’ensemble des crĂ©atures Ă ce système verront leur Ă©quilibre modifiĂ©.
 Question : Peut-on considĂ©rer que la Terre subit Ă©galement l’influence de ces interactions Ă©nergĂ©tiques ?
 A l’heure actuelle sur la Terre, l’explosion de bombes atomiques a considĂ©rablement modifiĂ© l’Ă©quilibre Ă©nergie-matière de la planète puisque la dĂ©sintĂ©gration atomique artificiellement crĂ©Ă©e par l’homme a provoquĂ© la dĂ©matĂ©rialisation de la matière en Ă©nergie d’une manière beaucoup plus accĂ©lĂ©rĂ©e que les rythmes de dĂ©sintĂ©gration atomique naturelle. Par ce fait, il y a une accĂ©lĂ©ration Ă©volutive anormale du rythme d’existence de la planète. Le système de contention matĂ©rielle qu’est la croĂ»te terrestre par rapport au magma Ă©nergĂ©tique stellaire du centre de la Terre se trouve affaibli et l’ensemble de la planète, y compris les crĂ©atures qui y vivent, subissent une accĂ©lĂ©ration de leur Ă©volution par un passage plus rapide d’un certain niveau de condensation Ă un niveau plus Ă©nergĂ©tique. De mĂŞme que les molĂ©cules d’un gaz ont un degrĂ© de libertĂ© plus vaste que les molĂ©cules d’un solide, la dĂ©condensation planĂ©taire de la matière en Ă©nergie provoque une poussĂ©e de forces anarchiques violentes qui envahissent le psychisme humain d’une manière explosive s’il n’y a pas une transformation des consciences et la mise en place de nouveaux contrĂ´les sur ces surpressions Ă©nergĂ©tiques, d’oĂą l’arrivĂ©e d’une surveillance extraterrestre accrue pour freiner l’accĂ©lĂ©ration anarchique de ces poussĂ©es Ă©nergĂ©tiques anormales.
Question : Quelles sont les conséquences immédiates de cette situation ?
 Dans les conditions actuelles, le futur possible de la planète peut être envisagé selon plusieurs scénarios :
 1er cas : Affrontements atomiques graves entre Terriens
 Dans ce cas, la plus grande partie sinon la totalitĂ© de l’humanitĂ© serait dĂ©truite ou profondĂ©ment dĂ©sorganisĂ©e. Il est Ă espĂ©rer que les dirigeants de grandes puissances, soucieux de prĂ©server leur confort personnel, n’iront pas jusqu’Ă dĂ©clencher cette folie qui les concernerait obligatoirement aussi, Ă un moment ou un autre, dans leurs avantages et privilèges. Mais la gravitĂ© de la situation vient plutĂ´t de la banalisation des armes atomiques qui conduit au fait que des fanatiques du terrorisme peuvent dĂ©jĂ se procurer, par le biais de trafiquants d’armes sans scrupules, des bombes A, conduisant Ă tous les chantages possibles et Ă des engrenages apocalyptiques.
 Une telle catastrophe Ă©videmment ne concernerait pas seulement l’humanitĂ©, mais certainement d’autres systèmes universels dont la science terrienne actuelle ne peut envisager clairement les possibilitĂ©s d’interaction. NĂ©anmoins, rien ne nous empĂŞche de penser que les actions de l’humanitĂ© dĂ©passant le cadre de son champ de libertĂ© impartie, il n’y aurait pas intervention d’autres prĂ©sences de type extraterrestre agissant de manière progressive ou brutale selon l’urgence de la situation.
 Question : Quel est l’avenir de l’humanitĂ© ?
2ème cas : débarquement extraterrestre
Si les dĂ©bordements incontrĂ´lĂ©s de la civilisation terrienne dĂ©rangent d’autres civilisations, il n’est pas impossible que l’humanitĂ© ait Ă affronter dans les dĂ©cennies Ă venir des interventions extraterriennes dĂ©terminant la soumission de la race humaine par des moyens tĂ©lĂ©pathiques et Ă©nergĂ©tiques inconnus conduisant Ă une neutralisation totale de tous les belligĂ©rants potentiels. Ceci dans le meilleur des cas ; mais il peut aussi exister des civilisations extraterriennes qui envisageraient une Ă©limination totale de la race humaine. Il est possible que, selon les degrĂ©s d’Ă©volution des races extraterrestres, le degrĂ© d’agressivitĂ© soit plus ou moins grand, ce qui nous laisse espĂ©rer l’existence de contrĂ´les protĂ©geant les civilisations moins avancĂ©es contre des conquĂ©rants de l’espace par trop agressifs.
Question : Peut-on espérer un autre programme ?
3ème : débarquement extraterrestre limité et secret
On peut envisager que les diffĂ©rentes races en prĂ©sence sur la Terre sont en relation de rĂ©sonance avec des races extraterrestres d’origine, d’Ă©volution et d’Ă©tat d’esprit diffĂ©rent vis-Ă -vis des humains. C’est pourquoi, en cas de catastrophe planĂ©taire, il pourrait y avoir intervention de races galactiques pour Ă©ventuellement sauver au moins une partie des Terriens qui seraient emmenĂ©s dans une autre zone spatio-temporelle. Il se pourrait aussi que ce ne soit pas en fonction de races biologiques, mais d’un certain niveau psychophysiologique et spirituel atteint, que les individus seraient sĂ©lectionnĂ©s pour un transfert dans un champ temporel diffĂ©rent qui, avec les lois de la relativitĂ© appliquĂ©es Ă l’espace-temps ferait qu’un voyage de trois mois dans l’hyperespace Ă©quivaudrait en fait Ă une absence de 3000 ans en temps terrestre, ce qui permettrait l’apaisement de la nature après les affrontements atomiques et autoriserait la rĂ©injection sur la planète d’un groupe humain dĂ»ment prĂ©parĂ© et organisĂ© pour continuer l’Ă©volution humaine sur Terre selon de nouvelles valeurs.
 C’est Ă©ventuellement une telle possibilitĂ© qui peut justifier une certaine Ă©coute vis-Ă -vis de dimensions extraterrestres qui semblent au cours du temps avoir gardĂ© une certaine surveillance sur l’Ă©volution humaine.
Question : Si les E.T. disposent de telles possibilitĂ©s d’intervention et qu’ils ne l’ont pas dĂ©jĂ fait, quel serait alors leur programme en cours ?
 4ème cas : réconciliation des humains entre eux
 Cela demanderait Ă l’esprit humain de sortir des affrontements dualitaires issus d’une Ă©ducation basĂ©e sur une rationalitĂ©, une dialectique et une science binaire. La rĂ©conciliation des hommes entre eux ne peut se faire que par un effort soutenu pour l’Ă©mergence d’une optique unitaire raccordant l’esprit humain aux prĂ©sences spirituelles conceptualisatrices de la trame cosmique, l’âme humaine aux Ă©nergies crĂ©atrices des figures universelles et le corps humain aux forces rĂ©alisatrices des formes matĂ©rielles.
 D’oĂą la nĂ©cessitĂ© d’Ă©tablir progressivement une science unitaire dĂ©gageant une meilleure comprĂ©hension des interactions entre les champs spirituels, mentaux, psychiques, vitaux, substantiels, sociologiques, matĂ©riels et universels dont la reconnaissance et l’harmonisation reste la seule et vĂ©ritable dĂ©marche vers la paix intĂ©rieure et extĂ©rieure. Cette pacification Ă©tant la condition fondamentale rĂ©clamĂ©e aux Terriens par les extraterriens, lors de certains contacts pour le rattachement de la civilisation humaine actuelle au rĂ©seau de tĂ©lĂ©diffusion de la ConfĂ©dĂ©ration Galactique centralisant les planètes civilisĂ©es de l’Univers local dont la Terre fait partie.
Question : Mais que pouvons-nous faire Ă l’heure actuelle pour freiner l’engrenage autodestructif ?
 Pour sortir de l’enfer qui est l’infĂ©rieur Ă l’envers, il faut s’Ă©lever vers le Paradis qui est le supĂ©rieur Ă l’endroit, et comme pour s’Ă©lever, il faut s’unifier, le freinage de l’engrenage infernal autodestructif peut se faire si chaque individu affirme en lui l’essentialitĂ© immortelle qui lui permet de se dĂ©finir hors de l’accessoire. En sachant que le cristal de perfection peut se construire au milieu d’une solution saturĂ©e d’imperfection Ă condition d’ĂŞtre dans le monde sans ĂŞtre du monde pour rĂ©aliser l’harmonisation des rapports entre le champ matĂ©riel de la CrĂ©ation, le champ Ă©nergĂ©tique des CrĂ©atures et le champ spirituel du CrĂ©ateur.  Si un individu s’est dĂ©cidĂ© Ă redompter sa bĂŞte instinctive, alors son esprit cosmique s’approche de lui, puis bientĂ´t d’autres ĂŞtres qui poursuivent le mĂŞme but entrent en rĂ©sonance et le rejoignent, ce qui crĂ©e un groupe humain dont la prĂ©sence et l’influence peuvent participer Ă la rĂ©harmonisation pacifique de la Terre. C’est ce que je poursuis depuis plusieurs annĂ©es avec diverses communautĂ©s d’amis dans plusieurs pays, car la vraie fraternitĂ© est au-delĂ des patries et des mondes.
Notre planète aurait évité des catastrophes irréversibles grâce à l’aide des hiérarchies supérieures