EROS
Tous les matins nous nous réveillons côtes contre côtes
Que le soleil transperce toujours la pluie pour l’éternité
Que jour après jour la flamme de notre amour s’intensifie
Ce qui est pour eux la fin de la nuit n’est que le début pour nous
Et d’un seul bloc vaincre le monde quand tu es moi et je suis toi
Unis à travers un monde des unis de dieu nous suivons les lois
A nous aimer jusqu’à ce que rien ne nous sépare de foi à toi.Je t’ai rencontré pour que nous soyons si heureux que jusqu’à devenir vieux nous ferons des envieux,
Avec une indécence déconcertante, tu me fais vivre au jour ce que je ne pouvais que rêver la nuit,
Dans un monde qui n’a pas de sens, nous jouons ensemble à nos propres règles où rien n’est fini,
Et les étoiles sont témoins de notre amour jusqu’au petit jour,
Notre amour se consomme sans limite, de nos mets polissons,
Avec toi, mon corps, mon esprit et mon coeur vibrent à l’unisson,
L’on se confond en effusion passionnée, portés vers des terres insoupçonées,
Tu me ramènes à la paix quand je suis en guerre,
Et je te ramène à la paix quand tu es en guerre,
Tu comprends ma souffrance, je comprend ton insolence
Ensemble déments, s’aimant comme des aimants,
Nous dansons entre le blanc et le noir, entre l’aube et l’aurore
Si toute chose n’a d’existence que si l’on y attache notre considération,
Alors, nous ondulons comme le serpent à sonnette, nos corps, nos esprits,
Tout ce qui constitut notre personnalité afin que leur échappe notre trésor,
Je me laisse hypnotiser par la lune et tu te laisses submerger par les rayons du soleil,
Un monde parallèle à tes côtés, un Alice au pays des merveilles,
Des indomptés nous sommes au sein de cette société, de vrais décalés
Nous foulons des paysages d’une telle pureté qu’ils raviraient un damné,
Nous regardons ensemble face à un horizon miroitant le reflet de nos âmes enlacées,
Et que le vent nous rapporte des secrets inavoués,
Que le magnétisme de la lune nous imprègne et nous ennivre d’oxygène,
Tu me montres que tel les éléments, nous sommes en complémentarité,
Tout comme la lune et le soleil, fidèles à la terre, nous serons là l’un envers l’autre, quoi qu’il advienne.
Ce n’est plus dans ce monde que je me perd mais dans ton regard et de nos coeur conjoints homme et femme nous devenons.
La Vie peut entendre nos souffles communs,
Je me révèle et prend forme par tes mains,
Ma fontaine étanche ta soif, ta sève irrigue mes racines,
De nos courbes naît le jour prochain qui ne connait de fin,
Autour de la flamme dansent la femme et l’homme qui ont vaincu la peur,
Tu m’as apprivoisée, moi qui étais une louve solitaire
Je baisse les armes car nous avons gagné la guerre au moment où l’on s’est rencontré…..
A toutes celles et ceux qui espèrent ou désespèrent de rencontrer leur âme soeur, je vous dis que s’il a déjà pris vie dans votre être, il peut prendre forme dans la matière. Donnez lui Vie par vos inspirations, vos pensées, vos actions, envoyez cette forme pensée à l’Univers et l’être qui avait sa source dans votre coeur prendra forme dans la matière, il toquera au moment où on ne l’attendra pas. Bonne Saint Valentin à vous tous/toutes, ayez foi aux connexions unniverselles qui par votre dévotion vous apportera bénédictions.Entièrement mais pas complètement,
Etre soi impose d’être transparent,
Tout ce qui voile est qui ment,
Je serai pour longtemps,
Le soleil couchant………………
Filament incandescent,
Plus qu’un tour fait mon sang,
Je marche le long d’un chemin transcendent,
Que seul empruntent les clairvoyants au coeur aimant,
L’on y trouve l’émerveillement, plus beau diamant de tous temps…
Je suis là où personne ne m’attend, je parcours ce qui n’a pas encore été exploré, car je ne me sens exister qu’à travers l’immensité de la créativité. Ne m’en voulez pas si parfois je suis injoignable, car je traverse des sentiers insoupçonnables où seul peuvent survivre mes propres intentions, les échos de vos pensées se heurtent alors contre un rocher, et seul persistent leurs fracas pendant qu’en immersion je me plonge dans l’océan ondoyant….Parce que de délice se parfume la vie,
Au gré de l’envie en pure tenue d’adam,
Défiant les temps d’apparentes vertus,
Nous bravons les barrières biscornues,
Des semblants regards d’ingénues,
Notre peau mise à nul comme avant,
Quand seul comptait l’instant vécu,
La fièvre devient alors médicament,
Et nous goûtons l’ascèse éperdument
Avant d’atteindre les chemins immémoriaux
Nous chantons en souvenir des bourreaux
Qui ont cru éteindre la flamme du flambeau
Par des lois platoniques quelque peu ironiques
Moi louve solitaire,du fond de ma tanière,
Je me laisse aller au désir d’humer ton odeur,
Je leur trouve la raison mais j’en pers la mienne,
Et que le monde se détruise, je resterai assemblée,
A nos corps en fusion dur de métal devenant tungstène,
Tant de temps perdu à se faire dévorer par des Hyènes,
Que je serai prête à baisser la garde pour la guérison par baiser,
Pas volé et sempiternel ces fervents instants où je serai tienne,
Et si la confiance se retrouve au toucher délicat d’un bouton de fleur,
De ton cheval fou je serai cavalière, une ère d’or où j’obtempère….
Si ennuyeuses sont les manières de ceux qui m’indiffèrent….
Dans un univers qui circule à contre-courant
Tout à l’envers …mais pas pour longtemps
Quand sera retrouvée la terre mettez moi au jus
Que j’imagine nos fusions sous haute-tension
Apportez moi des prises blindées que d’effusions
Je me protège par nos electrons dansant à nu…
Concilions nous, impétueusement dans le bal de vie,
Une valse la main dans la main de S’ion partenaire….
Rien que du bon temps ternaire à cadence du tonnerre
Et tête à l’envers à admirer le fulgurant éclat de l’éclair,
Onde de choc accompagnant le franchissement du mur,
Qui entretenait la censure, s’électrise en tension maximale
Nos corps-circuits où s’illumine la lumière maxi’mal
On retrouve les bancs de l’école de l’électro-aimantRetrouver l’oeil pétillant l’enseignement des émanants
Le sens de la vie passe par l’ennui quand ils sont partis
Retrouver les moments qui s’insolencent au gré de nos envies
Des jeux de doigts, et sans langue de bois
De mon envie de toi quand d’autres sont aux abois
Car quand le courant passe, aussi la menace….
Du temps qui se barre, du temps qui nous sépare
Mais retrouvons ensemble l’audace de braver le pathétique
Que cet horizon est magnifique !
Et pour de bon au pied de Marie, ils attendent l’extase,
Car quoi de plus ravissant que l’adoration sous domination,
De la Cène s’inspirent les repas les plus dévergondés,
A genoux baisant les pieds du maître les lèvres abusées…L’ascension attendue parmi les ingénues, vertus incongrues
Quand vous reviendrez sur terre dans vos mirages
Mettez-moi au courant que j’envie……sage
La rébellion des formes à l’abandon
Veines allocutions qui nous In…………onde
C’est alors la panique d’électrocution
Cause à effet d’un courant alternatif
Une source dont nous sommes tous natifs
Solitaire dans le ciel l’on vogue et l’étincelle me rapporte
Que la mienne se languit de lui, mais à appréhender l’ombre
Qu’ils projettent sur moi, je coupe la machine qui de pluie;
Berces ma vie plus forte avant que je ne sois morteAvez-vous de l’or à donner dans cette l’odyssée
Mélodie incessante tournant sur les disques rayés
Mais les coeurs sont pleins de miel câline et cajolée
Au karaoké chantons à l’unisson la fin de la chastetéQu’on s’appelle, qu’on se cherche, qu’on se suive,
Les lumières de l’insousciance sont farouches,
Douces irrévérence au sortie de la somnolence,
S’oser nos gestes et une dose de zèle à Homme qui-vive,
Qu’ils prennent la mouche tandis qu’en bouche à bouche
Nous partageons notre couche….Jouons au Lego, des pièces à emboîter à l’infini, des possibilités aussi vastes que l’univers,
Ton souffle sera mien, mon pouls sera tient.
Lèvres contre lèvres, corps contre corps, n’importe quand et n’importe où, les limites humaines n’existeront plus,
Je boirai ta source, tu boiras la mienne, que tout meurt autour de nous, Alors que nous baignerons dans une fontaine de Jouvence,
Et alors que tout le monde se tuera de guerre, nous revivrons d’amour,
Viens danser avec moi la vague de la Vie, et pendant que je serai l’île nue submergée par tes vagues irrésolues,
Le monde s’arrêtera pour nous car il n’aura plus d’existence réel,
Nous voyagerons en dehors de toute considération de temps et d’espace, car ensemble nous serons le cyclone indomptable,
Sans temps, au gré du vent, kilométrage illimité, l’on défiera la matrice qui ment,
Au sein du cyclone que nous formerons, toujours sera l’oeil de paix et sérénité, oui pour l’éternité nos sources mêlées se désaltérant à l’eau de paix,
Quand tout autour se fait désolation, rien ne pourra entraver notre illumination
N’aies crainte de me ressentir comme je te ressens toi. Et si ta lumière se trouble, je ferai apparaître une étoile pour te faire voir les cieux et te faire expérimenter le paradis,
Ton ÊTRE tout entier est le temple à qui je m’offre en offrande. Mon coeur, ma pensées, mon corps, mes sentiments, mes espoirs et désirs les plus intimes sont à toi.
Sais-tu comme je souhaite te vivre chaque jour et chaque nuit, goûter avec toi toutes les recettes les plus audacieuses, faire le tour de ton monde, faire le tour du mien qui ne formera plus qu’un avec le tien,
Car je caresserai de mes mains la pierre retenant la puissante épée du roi Arthur.
Je glisserai sur les dunes du désert aride, ton cou au creux du mien. Nous explorerons la forêt sauvage, si brute et si enivrante, si vraies seront les senteurs boisées embaumant notre peau.
Peu importe les attaques des morts vivants, notre cyclone si virulent, si tumultueux,
continuera son chemin, au dessus des mers, des montagnes, des déserts et des terres.
Alors que nous ne formerons plus qu’un, le monde se divisera autour de nous, mais cela n’aura plus aucune importance, car nous nous aimerons si librement, mon eau sera la tienne, ton eau sera la mienne.
Je te guérirai et chérirai jusqu’à te donner les dernières miettes de mon ÊTRE.
Et là, n’importe où, n’importe quand, plus rien ni personne n’aura d’importance pour nous car nous oublierons tous les maux entraînés par leurs illusions. Tu seras mon roi, et peu importe l’avis de ceux qui sont déjà morts, peu importe les peurs et les doutes qui tentent de t’atteindre, tu seras pour moi le seul digne d’accéder au règne. Tes hontes je les transformerai en force, tes peurs je les transformerai en désir, tes doutes je les transformerai en conviction. Notre château enchanté par toutes les musiques de l’éternité, par toutes les couleurs de l’univers, se reflétera dans nos yeux, et au plus haut de la tour l’on contemplera la plaine, nus, comme à notre premier jour, comme lorsque seule la Vie avait de l’importance…
Et ensemble nous tremblerons, mais jamais de froid, car toujours nous aurons foi que notre cœur vibre à chaque battement, jusqu’à la fin des temps.