LES PARADIS DE L’ENFER
Les paradis de l’enfer sont les paradis artificiels déclenchés par l’absorbtion de produits plus ou moins toxiques dans le corps. Que se soient des drogues dures ou douces elles proviennent et conduisent à une détériorisation plus ou moins rapide de la cohérence identitaire de la créature. Les expériences ou les soit disant initiations provoquées par de telles substances peuvent provoquer des impressions de jouissance avec dépendance de sorties partielles du véhicule physique avec accés à des visions inhabituelles. Cependant, il est évident pour ceux qui ont vécu de véritables initiations transcendantes, que l’usage des drogues n’ouvre pas la 1ère porte mais la défonce. Ce qui fait qu’on peut atteindre des sensations inhabituelles mais on ne peut pas atteindre des niveaux de conscience supérieure car la 2ème porte ne s’ouvre que si la 1ère porte est refermable et celui qui la laisse défoncée ne peut donc jamais passer la 2ème porte : celle de la conscience transcendante. En conséquence vu les dégâts physiques et psychiques causés par ces produits, il vaut mieux aborder l’accés aux niveaux supérieurs en respectant les lois initiatiques qui le permettent et en se préservant de toutes les promesses falacieuses offertes par beaucoup de marchands de mort de l’âme et du corps physique.AG.
Voici un rapport annuel de l’ONU sur les drogues au niveau mondial
Ce rapport, publié le 29 juin 2005, fait état de 200 millions de consommateurs de stupéfiants dans le monde et d’un chiffre d’affaire de 320 milliards de dollars.
L’ONU affirme que 5% de la population mondiale a consommé des drogues illégales.
Le chiffre des consommateurs a augmenté de 8% en un an principalement en raison de la popularité croissante du cannabis, consommé par plus de 160 millions de personnes en 2003. Selon ce rapport, 4% de la population mondiale s’y adonne et son usage est en augmentation. Toutefois, s’il semble plus fumé en Europe chez les étudiants, il est en recul aux Etats-Unis et en Australie.
Les drogues de synthèses sont en revanche en repli : 34 millions de consommateurs en 2004 contre 38 millions l’année précédente.
Parmi eux en 2003, 26 millions dont près des deux tiers résident en Asie ont consommé des amphétamines, méthamphétamines et substances assimilées et 7,9 millions de personnes ont pris de l’ecstasy.
Ce rapport explique que la baisse de consommation des drogues de synthèse est liée au démantèlement d’un grand nombre de laboratoires clandestins en Thaïlande ainsi qu’au recul de ce type de drogue aux Etats-Unis.
Il signale une augmentation du trafic des “précurseurs” produits chimiques indispensables à la fabrication des drogues de synthèse.
Les opiacées et la cocaïne qui ont progressé en 2004 sont les drogues les plus problématiques avec 16 millions de personnes dépendantes à l’opium, à la morphine ou à l’héroïne (15 millions en 2003) et 13,7 millions consommateurs de cocaïne (13 millions en 2003).
Ce sont les opiacés, qui en terme de santé publique, sont la principale préoccupation en Europe et en Asie (62% des demandes de traitement) alors que l’Amérique du Sud est plus affectée par la cocaïne (59% des demandes de traitement) et l’Afrique par le cannabis (64%).
La production mondiale d’opium a légèrement progressé, en raison de la place de plus en plus importante prise par l’Afghanistan (87% du marché mondial).
La production de cannabis est en forte hausse (+ 25% entre 2002 et 2003), une expansion qui va se poursuivre selon l’ONU.
La production de cocaïne est restée stable en 2004.
A noter que les saisies de drogue sont restées stables en 2003. Les saisies de cocaïne dans le monde ont atteint 495 tonnes en 2003 ce qui représente un taux record de 44% d’après les estimations.
Notre corps est notre temple et il faut le respecter, il faut ce le rappeler tous les jours !