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    Loic

    6 years ago

    Etude sur les origines de l’Islam.
    Posted on March 14, 2013 by Loic

    Dans cette époque où les tensions sont nombreuses. Il est urgent de se construire une référence personnelle précise afin de garder un cap clair, une vision cohérente de l’espace de développement intérieur, et pour un futur mieux affranchi des obscurantismes . Devant la multiplicité des informations “imposées”, des influences de toutes natures, visibles et invisibles, d’autres informations sont essentielles à connaître. J’ai fait cette traduction en français du texte de >Acharya S/D.M. Murdock en ce sens.

    Traduction française de « The Origins of Islam »

    texte original ici : (in English)
    by D.M. Murdock/Acharya S

    Le monde Islamique n’est plus davantage situé précisement quelque part… Par exemple, Chicago, avec ses 50 mosquées et près d’un demi-million de Musulmans, fait partie du monde Islamique.

    Le Projet Pluralist Harvard.

    En avril 2001, une enquête menée par le CAIR a montré que 69% des Musulmans aux USA estiment qu’il est « absolument foudamental » ou « très important » d’avoir un enseignement Salafiste (similaire à l’idéologie radicale Islamique Wahhabi) dans leurs mosquées. (67% des répondants sont expressement d’accord avec l’idée que l’Amérique est une société immorale et corrompue). Dr. Moorthy Muthuswamy

    Le Coran nous dit: «de ne pas se lier d’amitié avec les juifs et les chrétiens” (5:51), « de tuer les infidèles partout où nous les trouvons» (2:191), “de les assassiner et de les traiter durement» (9:123 ), «de combattre et de tuer les Paganistes, de les saisir, de les assiéger, et de les faire tomber dans toute embuscade» (9:5). Les exigences du Coran demandent que nous combattions les incroyants, et promet «S’il y en a vingt parmi vous, vous en vaincrez deux cents: s’il s’en trouve cent, vous en vaincrez mille d’entre eux” (8:65).

    Institut pour la Sécularisation de la société Islamique.

    Puisque l’Islam est une des religions mondiales ayant la croissance la plus rapide, principalement par reproduction plutôt que par conversion, il y a un besoin urgent d’aborder ce sujet, lequel, en raison de fous fanatiques islamiques, instillent la peur dans le cœur de nombreux non-musulmans. En compétition avec le Christianisme, et avec environ 270 millions de morts en son nom, l’Islam représente une des idéologies parmi les plus sanglantes et répressives que l’humanité ait rencontré.

    Ce sujet est hautement important, non tant en raison de l’expansion de l’Islam et du fait que les dirigeants Islamiques se réunissent à travers le monde, par exemple au moment de la célébration annuelle de l’Achoura où les Chiites en Inde se mutilent mutuellement avec leurs enfants, mais aussi parce que certains dirigeants Musulmans, soucieux de corriger la mauvaise réputation de l’Islam, font des déclarations telles que : «Il y a 1,8 milliard de musulmans dans le monde, et 99,9% sont épris de paix” (Haitham Bundakji). Si cette affirmation est vraie, elle serait à la fois effrayante dans son énormité et rassurante dans sa docilité.

    Cependant, la doctrine islamique est tout sauf «éprise de paix», comme les appels constants pour le meurtre d ‘«idolâtres» et d’«infidèles» (par exemple, Q2:191, 9:5, 9:73), entre autres commentaires sévères inscrits dans le Coran ainsi que dans d’autres textes tels que les hadiths.

    Bien que ce chiffre de 1,8 milliards semble élevé pour le moment, selon les prévisions de divers objectifs énoncés, le but des islamistes est que l’Islam balaie le monde. Mais, contrairement aux vœux de certains de ses adeptes, cette invasion ne sera pas pacifique. Il serait juste de dire que peu de non-musulmans aimeraient voir ce monde pris en charge par l’Islam, qui, avec le christianisme, représente le pire du despotisme oriental. Beaucoup de futuristes et de visionnaires aimeraient voir cette planète se soulever afin de se libérer des religions, en particulier celles encastrées dans l’âge des ténèbres. En effet, pour ceux qui aiment l’ultime liberté d’expression, ces prédictions comme le sentiment de prédation sont effrayants, parce que l’Islam est une théocratie fervente laissant peu de place à l’individualité, sans oublier de mentionner qu’il dénigre totalement l’aspect féminin de la création.

    Oppression de la Femme et bigoterie culturelle.

    Cette répression de la femme est tristement ironique quand on considère les racines de l’islam, mais elle n’est pas surprenante dans un monde qui, depuis plusieurs milliers d’années, a fait tout ce qui est en son pouvoir pour asservir les femmes, simplement en raison de différences physiques, une sorte de domination du mâle partagée avec les singes et autres animaux moins évolués. Bien que certains peuvent considérer que cet asservissement et cet esclavage relèvent plus d’une tradition culturelle que religieuse, peu importe car elle est liée « main dans la main » avec des religions qui enseignent qu’il y a un Dieu au-delà de l’espace qui est exclusivement masculin. Dans l’Islam, ce dieu est interprété

    dans l’esprit des musulmans comme étant un homme Arabe ou Perse, par opposition à l’homme Juif de l’idéologie judéo-chrétienne. Cette interprétation raciste, ethnocentrique, culturellement sectaire et sexiste d’un quelconque Dieu « infini » est un non-sens absolu. Cependant, dans ce qui semble être une suprême arrogance et une mégalomanie, de nombreuses personnes aimeraient que le monde entier croient cela.

    Quelles sont les origines de l’Islam ? Et bien, la religion musulmane est de manière évidente bâtie sur la tradition Judéo-chrétienne, mais également en réaction à celle-ci, qui a exclu et vilipendé les différentes cultures Arabes. Comme leurs frères et sœurs juifs, les Arabes Sémites tracent leur lignée jusqu’au patriarche biblique Abraham, le quel est dépeint dans la Bible comme s’étant accouplé avec Agar l’Égyptienne, procréant l’ancêtre de la race arabe : Ismaël. Alors que le contingent Juif interprète cette histoire pour justifier sa propre idéologie ethnocentrique, les Musulmans l’interprète à leur convenance, affirmant que « Dieu » ferait du peuple d’Ismaël une «) grande nation ». (Gen 21: 18 ). En règle générale, au lieu de chercher la vérité sur cette histoire, ses partisans l’ont transformé en une compétition politique pour une domination mondiale.

    Un Patriarche fictif.

    A l’instar de nombreux personnages bibliques, Abraham est évidemment une construction mythologique, et non pas une « vraie personne ». En tant qu’exceptionnelle chercheuse indépendante, Barbara G.Walker, dans son ouvrage « The Women Encyclopedia of Myths and Secrets », définit en ce qui concerne Abraham ceci :

    « Ce nom, signifiant ‘Père Brahm’ semble avoir été une version sémitique du Dieu patriarche Indien Brahma. Il était aussi le Abrama islamique, fondateur de la Mecque. Mais les légendes islamiques disent qu’Abraham fût introduit tardivement dans le sanctuaire de la Kaâba. – Il l’acheta à partir des prêtresses de ses Déesses originelles– ?. .. Sarah, ‘la Reine’ était l’un des titres de la Déesse, lequel devint ensuite un nom pour ‘femme’ dans l’Abraham biblique. Les écrivains de l’Ancien Testament prétendaient que les alliances de Sarah avec les princes Égyptiens n’étaient que des amours organisés par Abraham pour son propre profit, ce qui, infortunément l’ont fait passer pour un proxénète (Génèse 22:16), ainsi qu’un soi-disant assassin de son propre fils. (Génèse 22:10).

    Dans l’histoire du presque tué Isaac, Abraham endosse le rôle du prêtre sacrificateur dans le style druidique : laver les arbres sacrés de Jéhovah par le Sang du Fils, une ancienne coutume, dont les sacrifice de Jésus représente seulement une tardive variation. Jéhovah est apparu à Abraham au chêne sacré de Sichem, où Abraham a construit son autel. Plus tard, Abraham bâtira un autel au dieu chêne de Mambré, à Hébron. Même au 4eme siècle après J.C., Constantine a déclaré la maison d’Abraham au Chêne de Mambré comme étant encore un sanctuaire. « Il y est rapporté que les idoles les plus pernicieuses sont mis en place à ses côtés, que l’autel y est tout près, et que les sacrifices impurs y sont proposés en permanence ».

    Allah, un remake de la déesse de la Lune.

    Cette description des origines d’Abraham signifie que le judaïsme est construit sur ​​des mythes éculés, de manière qu’aucune des religions qui en émanent, tels le christianisme et l’islam, ne peuvent honnêtement prétendre être d’origine divine ou “inspirée”.

    En ce qui concerne le dieu de l’Islam, Allah, Walker (22) a ceci à dire:

    « La masculinisation islamique tardive de la déesse arabe, Al-Lat et Al-ILAT, – le Allatu que les Babyloniens adoraient anciennement à la Kaaba, à La Mecque. Il a été démontré que ‘le Dieu de l’Islam’ était une transformation masculine de la divinité lunaire primitive de l’Arabie. Son ancien symbole du croissant de lune apparaît toujours sur les drapeaux islamiques, même si les musulmans modernes n’admettent plus davantage qu’un quelconque symbolisme féminin quel qu’il soit soit connecté avec la totalité patriarcale d’Allah ».

    En effet le Coran vérifie le statut lunaire ou nocturne d’Allah : « Rappelez-vous le nom de notre Seigneur matin et soir, et adorez-le durant la nuit! Louez-le toute la nuit.” (Q 76:23) Et à Q 2:189: “S’ils vous interrogent sur les phases de la lune, réponds :” Elles sont les saisons fixées pour l’humanité et pour le pèlerinage”. »

    “Tous les Sémites ont admis une fois le culte de la lune comme pouvoir suprême. Quand Mohammed a renversé l’ancienne religion d’Arabie, il n’a pas osé se débarrasser du culte de la lune d’une manière radicale. Ce n’est que bien plus tard qu’il a été assez puissant pour interdire toute prosternation devant la lune (Coran 4:37). Avant l’époque islamique la divinité lunaire était l’objet le plus important des cultes dans l’ancienne Arabie. Les femmes arabes insistent toujours pour affirmer que la lune est la mère de l’humanité.

    « Sir G. Rawlinson fait remonter l’origine du nom ‘Chaldéens’ à la désignation de l’ancienne capitale Ur (Chur) devant être traduit en ‘adorateurs de la lune’ ». Le Déesse-Lune Sémitique était ‘la divinité spéciale et protectrice des femmes’. Les Babyloniens adoraient la déesse Ishtar, qui est identique à la grande déesse arabe et à l’épithète Notre-Dame … Elle a également le titre de la Reine du Ciel, ce qui signifie vraiment la Reine des Étoiles. Elle était cornue et a été, comme toutes les déesses lunaires, représentée par une vache céleste.

    « Les tribus hébraïques, ou plutôt leurs ancêtres, représentaient la dernière vague de migrants venus d’Arabie. Le culte de leur dieu était associé avec le Mont Sinaï – la montagne de la lune – . Les experts supposent que le nom Sinaï dérive de Sin, le nom du dieu-lune Babylonien. Dans l’Exode (3:1) Sinaï est appelé la ‘montagne des Elohim . Cela donne à penser qu’il a longtemps été sacré’.

    «Dans l’Ancien Testament, lequel est un recueil de textes beaucoup plus anciens, souvent réécrit et réédite, la lune apparaît comme une puissance du bien (Deut. 33:4) ou du mal (Ps. 12:16). Les traces se référant à l’ancien culte de la lune ont été énergiquement retirés du texte plus tard par les éditeurs. Cependant quelques-unes sont restées, et peuvent être reconnues dans les interdictions du Deutéronome 4:19: Les Israélites sont prévenus: ‘De peur aussi qu’élevant tes yeux vers les cieux, et voyant le soleil, la lune et les étoiles, toute l’armée des cieux, tu ne sois poussé à te prosterner devant eux, et que tu ne serves ces choses que l’Éternel ton Dieu a donné en partage à tous les peuples sous tous les cieux. », et dans le 17 :03 le châtiment de lapidation est prévu pour la personne qui « … aille et serve d’autres dieux, et qui se prosterne devant eux, devant le soleil, ou devant la lune, ou devant toute l’armée des cieux, ce que je n’ai pas commandé; … » Le Seigneur prédit (Jér. 8:2) que les os des rois et des princes de Juda ne seront pas enterrés, dispersés devant le soleil et la lune, et tous les hôtes des cieux, qu’ils ont aimés, et qu’ils ont servi, et qu’ils ont adoré…. ”

    Dans « The Origin of All Religious Worship (25-26) », à propos de l’astrothéologie Arabe, laquelle était une continuation de cette ancienne tradition lunaire Sémite, Charles Dupuis définit:

    « La Lune était une grande divinité des Arabes. Les Sarrasins lui ont donné le surnom de Cabar ou la Grande, son Croissant orne encore aujourd’hui les monuments religieux des Turcs. Son élévation sous le signe du Taureau constituait une des fêtes principale des Saracéens et des Arabes Sabéens. Chaque tribu Arabe était sous l’invocation d’une constellation. Chacune d’elles adorait un des corps céleste comme génie tutélaire.

    « La Caabah des Arabes était en fait, avant l’époque de Mahomet, un temple dédié à la Lune. La pierre noire que les musulmans embrassent avec tant de dévotion à ce jour, est comme on le prétend, une ancienne statue de Saturne. Les murs de la grande mosquée de Koufa, construit sur les fondations d’un ancien Pyrée, ou temple du feu, sont remplis de figures de planètes artistiquement gravées. L’ancien culte des Arabes était le Sabismus, une religion universellement répandue dans tout l’Orient. Le ciel et les étoiles furent les premiers objets de celles-ci. »

    « Cette religion était celle des anciens Chaldéens, et les Orientaux prétendent que leur Ibrahim ou Abraham a été élevé dans cette doctrine. Cela peut être encore vu à Hella, sur les ruines de l’antique Babylone, dans une mosquée appelée Mesched Eschams, ou ‘la mosquée du Soleil’. C’est dans cette ville que l’ancien temple de Bel, ou ‘le Soleil’, la grande divinité des Babyloniens, a existé. C’est le même Dieu, à qui les Perses ont érigé des temples et des images consacrées sous le nom de Mithra. »

    Astrothéologie à la Mecque.

    Un des sites de ce culte arabe des «armées du ciel» était la Mecque. En ce qui concerne la Kaaba de La Mecque, le plus saint des saints musulmans, Walker (487) écrit:

    « Le sanctuaire de la pierre sacrée de La Mecque, anciennement dédié à la triple déesse pré-islamique Manat, Al-Lat (Allah), et Al-Uzza, ou encore appellée la « vieille femme » est adorée par les tribus de Mahomet, les Koreshites. La pierre a été également appelé Kubaba , Kuba ou Kube, et a été associée avec le nom de Cybèle (Kybela), la Grande Mère des dieux. La pierre portait l’emblème du yoni, comme la pierre noire vénérée par les adorateurs d’Artémis. Elle est considéré maintenant comme le centre sacré de l’islam patriarcal, et son symbolisme féminin a été perdu, mais les prêtres de la Kaaba sont encore connus comme ‘Fils de la vieille femme’. »

    De même, NJ Dawood (1), un traducteur du Coran, transcrit:

    « Bien avant l’appel de Mohammed, le paganisme arabe montrait des signes de détérioration. A la Ka’bah les Mecquois ont non seulement adoré Allah, le Dieu suprême sémitique, mais aussi un certain nombre de divinités féminines qu’ils considéraient comme les filles d’Allah. Parmi ceux-ci étaient Al -Lat, Al-Uzza et Manat, qui représentait le Soleil, Vénus et la Fortune, respectivement. »

    Matriarcat arabe

    En ce qui concerne la nation de l’Arabie, Walker affirme que, préalablement à l’empiétement de l’Islam, l’Arabie était une culture matriarcale depuis plus de 1000 ans:

    «Les Annales Assourbanipal disent que l’Arabie était régie par les reines pour aussi longtemps que quiconque puisse s’en souvenir ….

    “Les légendes de Mahomet lui ont donné clairement un arrière-plan familial matriarcal. Le mariage de ses parents était matrilocal. Sa mère est restée avec sa propre famille et a reçu son mari comme un visiteur occasionnel ….

    “L’Arabie pré-islamique a été dominée et centralisée par les clans des femmes. Les mariages étaient matrilocaux, avec héritage matrilinéaire. La polyandrie – plusieurs maris associés à une femme – était commune. Les hommes vivaient dans les maisons de leurs épouses. Le divorce était initié par la femme. Si elle se tournait sa tente afin de faire face à l’est pour trois nuits successives, le mari était alors licencié et avait l’interdiction d’entrer à nouveau dans la tente.

    « Les doctrines attribuées à Mahomet ont simplement retourné l’ancien système en faveur des hommes. Un mari musulman peut renvoyer sa femme en disant trois fois « je divorce ». Comme en Europe, le passage du matriarcat au patriarcat ne s’est fait que progressivement et avec beaucoup de conflits.

    « … Cependant, l’histoire des débuts du Moyen-Âge arabe est en quasi-totalité basé sur des légendes. Comme Bouddha, Confucius, Jésus et d’autres fondateurs de religions patriarcales, Mohammed manque de vérification réelle. Il n’y a pas d’informations fiables sur sa vie ou ses enseignements. La plupart des histoires à son sujet sont apocryphes, comme l’histoire racontant que son cercueil reste « bloqué au milieu des airs, à mi-hauteur entre le ciel et la terre», à la manière des corps des anciens rois sacrés. »

    “Mais avec ou sans Mahomet, l’Islam a réussi à devenir complètement dominé par les hommes, ne laissant aucune place pour les femmes, sauf en situation d’esclavage ou alors dans l’intimité du harem. Les mosquées islamiques portent encore des signes où l’ont peut lire :« Les femmes et les chiens et autres animaux impurs ne sont pas autorisés à entrer… »

    « Néanmoins, les traces de la déesse se sont montrées indéracinables. Comme la Vierge Marie, la Reine du Ciel Arabe a reçu une forme mortelle et une position de subalterne comme Fatima, la fille de Mohammed. Mais elle n’était pas une vraie fille. Elle était connue comme la ‘Mère de son Père’, et la Source du Soleil … »

    Qui a écrit le Coran ?

    En ce qui concerne le Coran, le livre saint des musulmans, Walker (513) énonce:

    « Les Écritures Mahométan, sont souvent considérées à tort comme ayant été écrites par Mohammed. Les musulmans ne croient pas cela. Mais beaucoup ne savent pas que le Coran était une version agrandie et révisée de la Parole antique de la déesse Coré, vénérée par la tribu de Mahomet, les Koreshites (Enfants de Kore), qui avait préservé son sanctuaire de la Mecque. »

    «Le travail d’écriture originel a été fait bien avant l’époque de Mahomet par des saints imams, imam venant d’un mot concernant le sémitique ima,« mère ». A la manière des mahatmas, (ou «grands mères») originelles de l’Inde, les imams étaient probablement à l’origine des prêtresses du matriarcat de l’Arabie ancienne. Il a été dit que ces imams ont pris les écrits à partir d’un prototype qui existait dans le ciel dès le début de l’éternité, la «Mère du Livre» – c’est à dire, la Déesse elle-même, portant le livre du destin sur sa poitrine comme Mère Tiamat portait les tablettes de la Destinée. Parfois, le céleste Coran a été appelé la « Tablette préservée ». Il y a une certaine ressemblance entre ceci et d’autres livres légendaires d’origine divine, comme le texte d’Ur-, le Livre de Thoth, et la Table d’Emeraude d’Hermès. »

    “Comme dans le cas de la Bible judéo-chrétienne, le Coran a beaucoup été remanié afin de soutenir les nouvelles lois patriarcales et effacer les figures de la déesse et de ses prêtresses.”

    Dans « The Great Religious Leaders », Charles Frances Potter dit de Mohammed : “Il est très douteux qu’il ait lu toute la Bible: En effet, il n’a pas été prouvé qu’il ait jamais lu quelque chose, et même écrit. Il s’est appelé lui-même« le prophète illettré. “Naturellement, une grande partie du Coran est basé sur la Bible, l’Ancien et le Nouveau Testament, et combiné avec les traditions pré-islamiques arabes et autres.

    En ce qui concerne la non- originalité du Coran, l’expert de l’Islam M. Daniel Pipes écrit : (The Jerusalem Post, 12/05/00):

    «Le Coran n’est pas « un produit de Mahomet ou même de l’Arabie », mais une collection d’anciens matériaux liturgiques judéo-chrétiens cousus ensemble afin de répondre aux besoins d’un âge plus avancé.”

    Les déclarations du Bibliste Dr Robert M. Price concourent également à la nature pré-islamique des différents textes coraniques:

    «Le Coran a été assemblé à partir d’une variété de textes Hagarene antérieurs (d’où, à nouveau les contradictions la mort de Jésus) afin de fournir à Mohamet, tel Moïse sa propre Torah …. »

    L’expert Islamique M. Gerd-R. Puin conclut:

    “Mon idée est que le Coran est une sorte de cocktail de textes qui n’ont pas été compris de tous, même à l’époque de Mahomet. Beaucoup d’entre eux peuvent même dater d’une centaine d’années antérieures à l’Islam lui-même. Même dans les traditions islamiques il y a un énorme corpus d’informations contradictoires, basé sur un substrat chrétien important …. ”

    Ainsi, le Coran n’a pas été écrit par Mohammed.

    Le Coran Yéménite

    Un ajout significatif à cette étude importante a été la découverte en 1972 à Sanaa, au Yémen, de milliers de fragments sur parchemin du Coran, consistant peut-être le plus ancien manuscrit coranique existant jamais trouvé, datant des 7e-8e siècles. En ce qui concerne ces fragments, le professeur qui les a photographiés, le Dr Puin, remarque:

    «Tant de musulmans ont cette croyance que tout ce qu’il y a entre les deux couvertures du Coran est juste la Parole inchangée de Dieu. Ils aiment citer le travail textuel qui montre que la Bible a une histoire et ne tombe pas tout droit du ciel, mais jusqu’à présent, le Coran a été hors de cette discussion. La seule façon de briser ce mur est de prouver que le Coran a aussi une histoire. Les fragments de Sanaa nous aideront à le faire. »

    En ce qui concerne les textes et les conclusions de Puin, The Atlantic Monthly’s Toby Lester établit:

    « … certains de ces fragments ont révélé de petites aberrations mais cependant intrigantes par rapport au texte coranique standard. De telles aberrations, qui ne sont pas surprenantes pour les historiens textuels, sont troublantes car en contradiction avec la croyance musulmane orthodoxe que le Coran tel qu’il nous est parvenu aujourd’hui est tout simplement le Verbe parfait, intemporel et immuable de Dieu … Ce que le Coran Yéménite semble suggérer, Puin a commencé à le sentir, est que c’est un texte évolutif plutôt que simplement la Parole de Dieu telle que révélée dans son intégralité au prophète Mahomet au septième siècle de notre ère …»

    D’autres éléments de poids sur ​​la valeur de la découverte du Yémen viennent du Dr Andrew Rippin, Professeur d’études islamiques:
    « L’impact des manuscrits yéménites n’est pas encore total. Leurs variations sur la lecture du texte et l’ordre des versets sont tous très importants. Tout le monde est d’accord là-dessus. Ces manuscrits démontrent que l’histoire des débuts des textes coraniques est beaucoup plus une question ouverte que beaucoup l’ont soupçonné: le texte est moins stable, et avait alors donc moins d’autorité, que ce qui a toujours été revendiqué… »

    Dans ce même cadre, le professeur d’histoire Islamique Dr. R. Stephen Humphreys résume l’importance de l’étude sur la manière dont le Coran a été créé et ce que représente le trésor yéménite dans cette quête:

    « Historiciser le Coran aurait pour effet de délégitimer toute l’expérience historique de la communauté musulmane. Le Coran est la charte de la communauté, le document qui l’a appelé à l’existence. Et idéalement, quoi qu’évidemment pas toujours dans la réalité, l’histoire islamique a été l’effort de poursuivre et d’appliquer les commandements du Coran dans la vie humaine. Si le Coran est un document historique, alors toute la lutte islamique de quatorze siècles est effectivement vide de sens. »

    Les preuves révèle que le Coran a été écrit tout au long d’une période de plusieurs décennies, sinon sur des siècles, par un certain nombre de mains, plutôt qu’issu d’un seul représentant, telle une divine «révélation» du Tout-Puissant à Mahomet.

    Qui était Mohamet ?

    Comme celle de Bouddha, Jésus, Moïse, et autres, l’historicité de Mahomet est discutable. Il semble être encore une autre figure de proue religieuse inventée pour créer un «état» religion. Son «histoire» est pleine de légendes fantastiques, mais même si nous devions y trouver dedans un “personnage historique”, il ne serait pas un personnage très élevé ou affable. Comme dit Potter:

    “Parmi les femmes, son goût va plutôt aux veuves ayant un certain tempérament… Pour les loisirs, il se plaisait à bricoler des chaussures. Peut-être sa plus grande joie, c’est quand il voyait les têtes coupées de ses ennemis.

    “Les choses qu’il n’aime pas sont tout aussi variées. Il détestait les vêtements recouverts de soie, les intérêts, les chiens, les mensonges des autres, les juifs et les chrétiens. Il détestait les poètes, dont il dit:« Chaque peintre finira en enfer. »

    «Il était démesurément vaniteux. Une poète femme intelligente en avait fait une satire. Elle a été tuée pendant son sommeil avec son enfant sur ​​son sein, et Muhammad le vengeur a salué son meurtrier. Une fois, il a torturé un Juif pour trouver l’emplacement d’un trésor caché et l’a fait tuer, puis a ajouté la veuve à son harem. Le caractère du prophète était étrange en effet. Comment une telle personne ait pu inspirer une telle vénération et dévotion? C’est une des énigmes de l’histoire.

    «Ce n’était pas qu’il ait développé une grande théologie, non plus. Et le peu de théologie digne de ce nom que l’Islam possède, a été construit après que Mohamet soit mort depuis longtemps. »

    D’après les hadiths ou Hadees – comptes-rendus des paroles et des actes présumés de Mahomet et de ses compagnons, le Prophète était en effet un personnage qui devrait repousser tout être humain décent. L’un après l’autre des hadiths discutent de l’appétit sexuel insatiable de Mahomet, qui comprenait des rapports sexuels avec sa “femme” Aisha, qui avait 9 ans et n’avait même pas encore atteint la puberté. Diverses autorités islamiques ont également affirmé que Mohamet a commencé à attoucher Aisha quand il l’a épousée à l’âge de six ans.

    Quant à savoir comment un tel personnage a pu inspirer une telle vénération et dévotion, nous vous dirions que c’est parce que Mahomet et l’Islam ont été créés par une autre faction de “la fraternité” à des fins de concurrence avec le judaïsme, le christianisme, le zoroastrisme et les autres religions en cours. Comme n.d. Morozov dit:

    “… jusqu’aux Croisades, l’Islam ne se distinguait pas du judaïsme et … alors seulement a-t-il reçu son caractère indépendant, Mahomet et les premiers Califes sont devenus alors des figures mythiques.”

    Derrière la création de telles idéologies il y a généralement ceux à qui cela bénéficie le plus, en particulier les “parties tierces” telles les fabricants d’armes, puisque ces croyances qui divisent mettent pour toujours une culture contre une autre.

    Laisse mon Peuple aller…
    Malgré les tentatives peu convaincantes de personnes bien intentionnées pour faire valoir le pacifisme de l’Islam, le fait est que c’est une religion de guerriers du désert qui n’a pas été propagé par des moyens pacifiques. Comme Gerald Berry dit, dans « Religions of the World »(62):

    «En partie parce qu’il avait besoin de fonds et en partie parce que ses adeptes n’étaient pas qualifiés dans l’agriculture tout comme les habitants de Yathrib, [Mohammed] a organisé des bandes pour combattre et faire des raids contre des caravanes. N’ayant pas de liens avec les religions plus anciennes, il lançaient ses bandes armées même pendant les mois de paix. Ainsi a commencé la guerre sainte Arabe. L’ensemble du mouvement de Mahomet a pris un caractère de militarisme religieux. Il a fabriqué les combattants musulmans fanatiques en leur apprenant que l’admission au paradis était assurée pour tous ceux qui meurent en combattant pour la cause d’Allah. ”

    En fin de compte, l’Islam, qui signifie «soumission», est bâti sur des mythes et traditions plus anciens, et a été conçu afin d’usurper le pouvoir des chrétiens, des juifs et des femmes. Même si nous n’avons aucune querelle avec toute la culture arabe, nous avons un gros problème avec les idéologies qui sont pleines de demi-vérités et de mensonges. En raison de l’arrogance et du fanatisme, les anciennes cultures, ainsi que leur variété, leur sens de la justice et de la beauté, sont maintenant pratiquement entièrement détruits. En effet, les religions occidentales monolithiques ont procédé à une dégradation massive de la culture.

    Si habitants de cette planète devenaient simplement éduqués quant à l’origine de leurs traditions dans leur intégralité, nous pourrions vivre dans un monde de savoir et d’une grande beauté, par opposition aux idéologies sectaires, laides, superstitieuses et répressives basées sur l’exclusion. L’islam est né de la répression du christianisme et du judaïsme, ainsi que d’une culture axée sur un déséquilibre du rapport homme-femme. Comme toutes ces traditions, l’islam est tout à fait hors de l’équilibre, et nous pouvons tous souffrir pour lui, surtout si les prévisions se réalisent affirmant que l’Islam sera la religion majoritairement dominante dans le monde pour les prochaines décennies.

    Comme indiqué précédemment, il y a peu de femmes ou d’hommes non musulmans qui souhaitent vivre dans un tel monde. En raison de cette aversion, on pourrait s’attendre à voir dans le futur d’innombrables batailles et guerres horribles, menées au nom d’un dieu ou d’un autre, comme cela s’est produit trop souvent dans le passé, principalement par ces religions abrahamiques monothéistes du judaïsme, du christianisme et de l’islam . Tout compte fait, ces trois sont responsables de la mort de centaines de millions de personnes, alors pourquoi sont-elles considérées comme «grandes religions? » La « plus grande » des choses à leur sujet est le taux de mortalité qu’elles induisent.

    Si ce monde doit survivre aux temps à venir, nous aurons besoin de toutes les personnes qu’il est possible et capables de laisser tomber toutes ces doctrines qui divisent. Ceux dont nous avons besoin sur cette planète, en ce moment, sont ceux qui sont honnêtes, bienveillants et l’ensemble des êtres humains motivés non pas par des faveurs et avantages potentiels de divinités sadiques et ethnocentriques dans le ciel, mais motivées par une décence innée et intègre. C’est seulement de cette façon que nous pourrons tous vivre en paix plutôt que subir la peur, qui est l’arme brandie par la religion pour convertir les «fidèles».

    Sources & lectures supplémentaires :

    Berry, Gerald. Religions of the Word. Barnes & Noble, 1955.
    Dawood, N.J. The Koran. London: Penguin Books, 1995.
    Dupuis, Charles. The Origins of All Religious Worship.
    Glazov, Jamie. “The Yemeni Koran.” FrontpageMag.com
    Potter, Charles Francis. The Great Religious Leaders. New York: Simon & Schuster, 1958.
    Reik, Theodor. Pagan Rites in Judaism. New York: Farrar, Strauss, 1964.
    Walker, Barbara G. The Woman’s Encyclopedia of Myths and Secrets. HarperSanFrancisco, 1983.

    Citations à partir du Coran :
    A Call to the Muslims of the World
    The Massacres of the Khilafah
    ‘Islam is a Religion of Peace’
    Allah the Moon God

    traduit de l’américain par Loic le 23/08/2012

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