De « L’arbre aux fièvres » à la quinine puis à la chloroquine, Par Gilles Ragache.Gilles Ragache, installé sur le plateau du Neubourg, est auteur, historien et directeur de collections.
C’est vrai. Quand j’étais petite, mes parents nous faisaient prendre ça en hiver pour lutter contre les maladies de saison. Seul mon père attrapait la grippe, nous étions 8 à la maison et il n’y avait jamais d’épidémie de grippe dans nos écoles. Comment ça se fait que ça s’est changé comme ça ?
