La nouvelle médecine du Dr Hamer, la Biologie Totale et le décodage biologique de Claude Sabbath repris par de nombreux thérapeutes et spécialistes de santé de toutes catégories ont ouvert la porte a une nouvelle manière d’envisager et de traiter la maladie en Occident.
La maladie devient la solution parfaite du cerveau.
C’est à dire que lorsqu’un ou plusieurs conflits psychologiques cumulés deviennent ingérables par la conscience mentale d’un individu au risque de l’épuiser jusqu’à la mort, le corps biologique prend en charge la résolution du ou des conflits en la localisant sur un organe sous forme de pathologie.
Tout organisme vivant est programmé en termes de logique de survie et va donc trouver la meilleure solution pour continuer d’exister jusqu’à recouvrer son état normal : la santé.
Claude Sabbath disait : « Si c’était de la musique ce serait du Mozart » dans le sens où il s’agit d’une ultra précision de la nature.
Il existe une corrélation parfaite entre les zones du cerveau correspondants aux organes touchés par la maladie, les organes eux-mêmes et les conflits répertoriés par des centaines, voire des milliers de diagnostics. D’où le terme de Biologie Totale puisque tout est relié.
Des cercles concentriques magnétiques appelés les foyers de Hamer visibles sur des scanners apparaissent sur les aires du cerveau concernés indiquant avec certitude, pour celui qui sait les déchiffrer, la nature de la pathologie et des conflits associés
Comme dans toute science thérapeutique il existe le corpus des connaissances à assimiler et la pratique du thérapeute. On parle d’art thérapeutique quand il s’agit de décrypter les causes profondes de telle maladie et de faire en sorte que le patient en prenne conscience pour s’acheminer vers sa guérison.
En fait c’est la conscience qui guérit, pas le thérapeute . Le thérapeute est là pour aider , expliquer et pointer du doigt les séquences de vie durant lesquelles la maladie s’est programmée (le programmant) et lorsque elle s’est déclenchée (le déclenchant), ce qui n’est pas souvent au même moment.
C’est donc lors d’ un ou plusieurs entretiens avec le thérapeute que le patient, en répondant à des questions ciblées va ramener à la surface de sa conscience la racine causale profonde de sa maladie et va pouvoir, soit trouver une solution de remplacement pour gérer ce conflit, soit va le transcender par une solution plus élevée , soit va simplement prendre conscience qu’il n’en a plus besoin car cela ne lui appartient pas vraiment. Dans ces 3 cas , la maladie n’ayant plus de sens pour lui, elle disparaît, comme on fait « effacer », « erase » sur un fichier ou un logiciel dont on n’a plus besoin sur son ordinateur
Qu’il s’agisse d’un simple rhume ou d’une maladie grave les lois sont les mêmes . Ce sont des invariants.
La biologie totale a classé les maladies sur les 4 touches du piano biologique
Les maladies qui font de la masse (cancers, kystes, tumeurs, polypes, etc…)
La maladies qui creusent (ulcers, nécroses, etc…)
Les maladies qui accélèrent les flux (sanguins, air, lymphe, eau, digestion,etc..)
Les maladies qui ralentissent les flux
Chaque maladie reflète alors un conflit ancien ou récent ou une conjonction de conflits qui vont engendrer le symptôme correspondant.
La gravité de la maladie est proportionnelle à l’intensité du conflit.
Dans une situation donnée d’évènement stressant, tel individu va l’ engrammer dans sa banque mémoire émotionnelle et en fera un traumatisme programmant , qui pourra déclencher une pathologie des années plus tard lors d’un évènement ou d’une série de sur-stress déclenchants
Dans une situation similaire, un autre individu , vivra l’évènement stressant moins tragiquement, le gèrera, l’évacuera en en parlant ou en le transmuant et n’en imprimera aucune marque traumatisante dans sa mémoire. C’est donc le ressenti d’un individu qui est déterminant.
Pour bien comprendre la biologie totale , il est préférable bien sûr d’ avoir de solides notions d’anatomie, de physiologie et de médecine générale, mais aussi il est intéressant d’étudier la psycho-généalogie, le symbolisme des organes et des parties du corps, les cycles des mémoires cellulaires, la sémantique et la symbolique des lettres sanscrites et hébraïques, autant de branches de connaissances qui nous renseignent sur la complexité de l’être humain, de ses références, de ses conditionnements et de son aspect archétypique et symbolique universel. De même l’éthologie, étude des comportements animaux nous éclaire sur les réflexes profonds inscrits dans nos cerveaux reptilien et archaïco-affectif qui fonctionnent de la même manière qu’à l’âge préhistorique en sous-jacence du fonctionnement de notre néocortex adapté et adaptable à la civilisation du 21eme siècle et à aux changements évolutifs à venir. Les réflexes d’un homme qui traverse une avenue encombrée d’ un fort trafic d’automobiles dans une grande ville sont les mêmes que ceux du chasseur de l’âge de pierres lorsqu’il devait traverser la rivière fourmillant de crocodiles et d’animaux prédateurs. La peur, la vigilance, la prudence , la perception du danger et l’instinct de survie ne diffèrent pas .
La biologie totale a souvent eu à traiter des cas dits « incurables » par la médecine moderne , des gens en soins palliatifs qui, en désespoir de cause se sont tournés vers une dernière chance de guérir, avec des résultats dits miraculeux dans certains cas quand ce n’était pas encore trop tard.
Mais elle peut être, au même titre que la médecine chinoise, que la médecine ayurvédique ou chamanique une médecine préventive avant d’être curative.
On sait aussi que les nœuds énergétiques , avant de s’ancrer dans la condensation biologique, peuvent être perçus et repérés dans les corps mental, astral/émotionel et éthérique par des praticiens voyants exercés. Puisque les conflits sont avant tout d’ordre psycho-mental, il est logique qu’il soient d’abord énergétiques , et donc plus facilement dissous, fluidifiés et transmués dans ces niveaux plus subtils que lorsqu’ils sont enracinés dans les organes biologiques.
Un peu comme des habitudes. Des habitudes récentes peuvent être aisément remplacées par de nouvelles bonnes habitudes ou mieux encore par une recréation permanente d’actes régénérateurs
Des habitudes très anciennes sont très difficiles à changer car cristallisées . Elles deviennent des créodes qui se renforcent avec le temps et se perpétuent. Ainsi on va parler de maladies génétiques , dans le cas de maladies qui se transmettraient de père en fils , de génération en génération comme s’il s’agissait d’une fatalité à laquelle nul ne pourrait échapper. La Biologie Totale parlera de programmes transgénérationnels qui circulent suivant des canaux familiaux et claniques bien précis, et qui peuvent être modifiés , annulés et reprogrammés par le décodage et la reprogrammation biologique.
C’est un domaine passionnant qui peut intéresser non seulement les gens ayant des problèmes de santé mais aussi les gens en bonne santé désireux de comprendre les mécanismes d’évènements en cascades qui génèrent les maladies ainsi que ceux qui peuvent guérir et ainsi pouvoir aider un proche.